>
Critique de Big-Bad-Wolf
Après un premier tome de Skyward qui m'avait happée et enchantée, le second est davantage en demi-teinte. Cette fois, plus d'aventures en compagnie de l'escouade Vers les Etoiles, c'est seule ou presque que Spensa va devoir faire face à la menace qui pèse sur son peuple, en se rendant directement dans un de leurs fiefs : Astrevise.
D'emblée, on est comme Spensa, à perdre nos repères. Jusque là, on avait toujours eu le point de vue unique des humains de Détritus, mais comme d'habitude, chaque histoire possède deux versions. On se retrouve ici confrontés à quelque chose d'autre, à une vision différente des événements. Dans la foulée, il y a de nombreux mystères à résoudre qui émaillent l'intrigue, certains même depuis le premier tome : qui sont ces extraterrestres qui oppriment les humains ? Pourquoi les garder enfermés sur une planète-prison ? Est-ce que les récits que l'on fait sur les humains sont fiables ou est-ce une version politique ? D'où viennent les pouvoirs de Spensa ? Que sont ces fameux yeux qu'elle voit quand elle les utilise ? Ces questions sont nombreuses, et si certains mystères seront résolus ou au moins partiellement, d'autres restent encore nébuleux à la fin du récit.
Si les scènes de combat spatial restent épiques, j'ai tout de même trouvé des longueurs assez récurrentes dans ce second tome. Ce qui fait, sans doute, qu'il ne m'ait pas autant plu que le précédent. En tant que lecteur, on se questionne sur ce nouveau monde qu'est Astrevise, sans doute de manière plus objective que Spensa qui, pendant une large partie du roman, cherche absolument à voir le mal partout. Cela reste cohérent avec le personnage, même si c'est parfois un peu agaçant. Heureusement, elle évolue dans le dernier tiers du roman en prenant conscience que des choses peuvent rapprocher les humains et les peuples de la Supériorité.
La fin du roman nous laisse avec une intrigue non seulement qui n'est pas achevée, mais qui est un véritable cliffhanger. Autant dire que la suite soulève bien des questions, comme c'était d'ailleurs aussi le cas à la fin du premier tome. Reste à voir ce que la suite de l'histoire nous apportera...
D'emblée, on est comme Spensa, à perdre nos repères. Jusque là, on avait toujours eu le point de vue unique des humains de Détritus, mais comme d'habitude, chaque histoire possède deux versions. On se retrouve ici confrontés à quelque chose d'autre, à une vision différente des événements. Dans la foulée, il y a de nombreux mystères à résoudre qui émaillent l'intrigue, certains même depuis le premier tome : qui sont ces extraterrestres qui oppriment les humains ? Pourquoi les garder enfermés sur une planète-prison ? Est-ce que les récits que l'on fait sur les humains sont fiables ou est-ce une version politique ? D'où viennent les pouvoirs de Spensa ? Que sont ces fameux yeux qu'elle voit quand elle les utilise ? Ces questions sont nombreuses, et si certains mystères seront résolus ou au moins partiellement, d'autres restent encore nébuleux à la fin du récit.
Si les scènes de combat spatial restent épiques, j'ai tout de même trouvé des longueurs assez récurrentes dans ce second tome. Ce qui fait, sans doute, qu'il ne m'ait pas autant plu que le précédent. En tant que lecteur, on se questionne sur ce nouveau monde qu'est Astrevise, sans doute de manière plus objective que Spensa qui, pendant une large partie du roman, cherche absolument à voir le mal partout. Cela reste cohérent avec le personnage, même si c'est parfois un peu agaçant. Heureusement, elle évolue dans le dernier tiers du roman en prenant conscience que des choses peuvent rapprocher les humains et les peuples de la Supériorité.
La fin du roman nous laisse avec une intrigue non seulement qui n'est pas achevée, mais qui est un véritable cliffhanger. Autant dire que la suite soulève bien des questions, comme c'était d'ailleurs aussi le cas à la fin du premier tome. Reste à voir ce que la suite de l'histoire nous apportera...
