Pour Frédéric Nietzsche, les peuples voués à perdurer sont ceux porteurs de « la plus longue mémoire ». En cela, l’écriture dite runique devint le support privilégié de ce qui fut à la source d’un cycle et qu’il fallait préserver pour que, le moment venu, des individus détenteurs d’une certaine potentialité aient la capacité de réintégrer l’état originel.
Nous sommes en présence d’une écriture qui, de par le nom que les anciens Germains lui attribuaient, est synonyme de
mystère.