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Critique de Noctenbule


Milarepa est le premier ouvrage du Cycle de l'invisible, qui parle du bouddhisme. Simon, sur la quarantaine découvre qu'il n'est pas un simple humain, il est plus que cela.

Simon fait depuis un moment un rêve, qui devient de plus en plus clair dans le temps. C'est une femme en forme de fumée qui lui donne la clef de la compréhension et cela se confirmera avec un voyage au Tibet. Il est la réincarnation de l'oncle de Milarepa, un ermite tibétain du XIème siècle qui détestait son neveu. Afin de se libérer de sa haine qui habite ces songes, il doit raconter l'histoire de son incarnation.

Milarepa a mené une enfance heureuse. Sur son lit de mort, son père confie à la charge de son frère la charge de la maison, des champs et des animaux, en attendant la majorité du jeune garçon. Cependant, l'oncle qui le déteste car il ne c'est moqué de lui depuis son arrivé dans la famille, exploite et fructifie les biens. A la majorité de Milarepa, il le renvoie de la ferme, et réduit sa mère et sa soeur en esclavage en les faisant vivre dans la plus grande pauvreté. La mère l'instrumentalise afin qu'il venge la famille en apprenant la magie noire avec l'aide des démons. Il va tuer une trentaine de personnes, des récoltes, des animaux.... Milarepa souhaite devenir bon, et va chercher l'enseignement du Grand Lama pour lui apporter la paix intérieur, de la repentance et le pardon et ainsi en les trouvant il pourra les transmettre.

Une lecture rapide mais un peu laborieuse. Les contes bouddhiques sont toujours un peu compliquer, avec les rivalités familiales, les sorts, les ravages... et bien entendu, une reconversion vers le bien-être, vers le bouddhisme. On n'oublie pas que l'esprit est plus fort que le corps, que la bonté est meilleur que la haine. La lecture des deux autres ouvrages du Cycle de l'invisible (Oscar et la dame en rose, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran) m'a semblé plus facile et surtout emprunt d'une douceur et d'une beauté du monde que j'ai pas retrouver ici.
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