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Critique de Haldir


Jeune pucelle effarouchée qui ne jure qu'en l'amour véritable, jeune jouvenceau obnubilé par l'amour chevaleresque et désintéressé, saviez-vous qu'en fait tout ceci n'était qu'une vil tentative pour vous reproduire?


Quoi? Comment? Qu'est-ce donc que ces cris indignés? Hey les loulous faut arrêter de déconner hein! Vous pensiez sérieusement à ce que vous racontez? Vous pensez que Bella aime Edward uniquement pour son look de constipé en phase terminale? Que vivre d'amour et d'eau fraîche était indispensable à la survie de l'humanité? (allez donc dire ça aux somaliens...) Eh bien que nenni! Tout n'est qu'une affaire de testicules, de barbares puant, couverts de sueur et de tripailles, enlevant de frêles et jeunes donzelles pour indiquer que leur clan avait bien explosé ses voisins et autres joyeuseries dans le même genre.


C'est ce dont va s'évertuer à faire notre bon vieux chopen... shopena... schopenaou... Arthur. Tout n'est qu'animalité et continuité de l'espèce. Certains auteurs guimauveux (tels Musso, Lévy et Mayer, que leurs noms soient mille fois maudits et qu'ils pourrissent dans les plus infâmes geôles de l'Enfer) ou post-adolescentes attardées ont tendance à l'oublier, arguant du fait que l'amour est le dernier siège de pureté d'une humanité "vrémen pa genti du tt lol".


Si on pourra légitimement critiquer la misogynie de ce brave Arthur S. (soyons sérieux quand même: on peut dédramatiser et désacraliser l'Amour sans être un gros arriéré!) le reste de son oeuvre est un régal.


L'Amour c'est bien. Mais inutile d'en faire tout un flan. Car comme disait ce bon vieux Diderot: « Il y a un peu de testicule au fond de nos sentiments les plus sublimes »
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