Barbie aux sports d'hiver

💝 « - Oh ! Barbie ! Ce serait Formidable ! Tu imagines ? Noël sous la neige !… et un vrai sapin tout frais sorti de la forêt !…
- Et un feu dans la cheminée avec plein de cadeaux autour…
- A nous les pistes de ski, la neige et le beau ciel des montagnes… La vie est merveilleuse ! »
(P.18)

💝 Ah, sacrée Barbie ! Et sacrée Skipper (je ne suis toujours pas remise de ce prénom…) ! Alors qu'elle est clouée au lit avec une grippe que seuls de l'aspirine et un séjour à la montagne pour Noël peuvent guérir (le docteur de Barbie est incroyable, je veux le même, préscrivez-moi des vacances !!), Barbie, tout d'abord dubitative quant au choix de la destination, trouve le lieu idéal en quelques secondes : le chalet de Tante Maguy, oui oui oui ! En moins de temps qu'il ne faut pour y penser, Barbie prévoit d'embarquer toute la clique (pourquoi aller chez Tatie à deux quand on peut y aller à dix!?). Mais voilà, Ken a d'autres projets (ah les hommes …) et face à la déception de Barbie, il choisit ces mots si justes : « Ne pleure pas, Barbie ». Ken, ta pédanterie me sidère.

💝 Bref, Ken, homme aux super pouvoirs, réussit à se libérer pour passer Noël avec Barbie, mais en attendant les filles vont skier, Barbie se perd dans le brouillard, du coup un gros oiseau (oui, c'est ainsi que l'auteur décide de nommer l'hélicoptère… hmm) vient la sauver, puis elle trouve un petit oiseau (aucune métaphore ici) quasi mort de froid dans la neige qu'elle soigne à cuillerées de vin rouge (je veux le même remède), tout en faisant des bonshommes de neige ⛄️, enfin que dis-je, des chats de neige, des girafes des neiges, toute une savane gelée qui s'invite dans le beau jardin de Maguy.

💝 Voilà, pour remercier Maguy, Barbie et Skipper ont la chouette idée de lui offrir un séjour à l'île Maurice, apparement les gens sont chouettes là-bas, elle se sentira en « pays de connaissance » (je cherche encore le sens de cette expression). La montagne ça vous gagne, mais pas trop quand même.

💝 Barbie, merci pour tes chouettes péripéties, tu as sauvé mon dimanche soir !