3 kifs par jour et autres rituels recommandés par la science pour cultiver le bonheur

Notre capacité à être heureux se divise en trois morceaux. Le premier recouvre 50% du fromage : c'est la part de notre prédisposition génétique au bonheur, elle peut être forte, moyenne ou faible. On sait aujourd'hui que ces 50% sont gouvernés par la longueur du gène 5HTT, qui a une influence directe sur la façon dont nous ressentons un événement.

-Ce qui compte le moins ne doit jamais prendre le pas sur ce qui compte le plus-
Bernard Saulnier

Ben-Shahar voit trois autres avantages à prendre le temps de définir des objectifs :
* ils nous centrent et nous concentrent
* ils nous rendent plus résilients face aux difficultés. On se relève et on continue avec une bonne raison. Si mon action à un sens, j'ai plus de chance de la réussir et de surmonter les obstacles
* ils nous rendent auto-efficaces. Mieux nous définissons ce que nous voulons obtenir, plus nous capterons les informations extérieures qui faciliteront sa réalisation. On ne se dit plus : "Je pourrais trouver", mais : "je vais trouver". Car on sait ce qu'on cherche.
Le plaisir de la vie ne se trouve donc pas à l'arrivée, mais tout au long de la promenade.

Travailler avec notre nature, pas contre elle. De l'exercice, du sommeil et de la tendresse pour tous.

Introduire les changements que l'on souhaite.

Se confier
Une vie d'intégrité rend heureux. Et s'il faut se forcer à se sentir mieux pour se sentir bien, ça n'est pas une trahison de soi, c'est un geste sain et malin.

Travailler avec notre nature pas contre elle.

Être comme on est est ce qui sonne le plus juste. Toujours.

De tout et pour tout. Il y a des trésors de bonheur partout et surtout ici. Ritualiser la gratitude.

Simplifier
Afin de se rapprocher de l'expérience optimale. Pour avoir le temps de profiter, le moins est l'ami du mieux.