C'est drôle, piquant, un brin trash et ça raconte assez bien l'adolescence. Faut dire qu'Aspirine a de l'expérience, ça fait 300 ans qu'elle vit les affres de cette période bouleversante voire carrément douloureuse.
Je m‘aperçois que je ne connais pas bien du tout l'oeuvre de
Sfar, et j'ai bien aimé ici son côté déjanté et décalé qui me donne envie, déjà, de lire la suite de cette série, et, ensuite, de découvrir d'autres titres.
Une BD qu'on peut proposer aux jeunes à partir du lycée.
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