Ce que j'ai trouvé touchant et honnête dans ces carnets dessinés, c'est la description de la nostalgie, la démotivation, le bourdon qui prend beaucoup des festivaliers loin de leur famille et qui angoissent à l'idée de passer quinze jours inutiles à côtoyer un microcosme nombriliste.
Joann Sfar retranscrit très bien son malaise et sa première solitude. Et puis les journées se succèdent, il s'étonne de voir comment tiennent des journalistes qui, rentrés à 5h du mat' se rendent aux premières projections du matin. (.....)
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