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Critique de jamiK
Le petit monde du Golem
Joann Sfar nous propose une histoire qui ressemble presque à de l'écriture automatique sous forme de bande dessinée, il y fait intervenir les personnages mythiques de l'Europe de l'Est, le Golem, le Vampire... avec un trait brut, qui semble directement posé sur le papier sans ébauche préalable. le pinceau semble parfois manquer d'encre, les traits sont parfois fouillis, ou au contraire épuré, utilisant hachures et stries. le récit se déroule comme un voyage initiatique, plusieurs personnages s'entrecroisent, se percutent dans une intrigue tout aussi fouillis que le graphisme. C'est comme un exercice de style, un impromptu, une improvisation. C'est léger, farfelu, chargé d'un héritage culturel, laissant place à une imagination débridée, sans carcans, c'est juste une lecture libre et poétique, à savourer avec une tasse de thé (personnellement, je prendrais plutôt un café) : “Si tu ne te rends pas compte que chaque instant de vie donne du bonheur parce qu'il est unique, je ne peux rien pour toi.”
Joann Sfar nous propose une histoire qui ressemble presque à de l'écriture automatique sous forme de bande dessinée, il y fait intervenir les personnages mythiques de l'Europe de l'Est, le Golem, le Vampire... avec un trait brut, qui semble directement posé sur le papier sans ébauche préalable. le pinceau semble parfois manquer d'encre, les traits sont parfois fouillis, ou au contraire épuré, utilisant hachures et stries. le récit se déroule comme un voyage initiatique, plusieurs personnages s'entrecroisent, se percutent dans une intrigue tout aussi fouillis que le graphisme. C'est comme un exercice de style, un impromptu, une improvisation. C'est léger, farfelu, chargé d'un héritage culturel, laissant place à une imagination débridée, sans carcans, c'est juste une lecture libre et poétique, à savourer avec une tasse de thé (personnellement, je prendrais plutôt un café) : “Si tu ne te rends pas compte que chaque instant de vie donne du bonheur parce qu'il est unique, je ne peux rien pour toi.”
