Taro, artiste métis sourd et muet dont la mère vient de décéder dans sa librairie retrouve après quinze ans Hanako qu'il avait côtoyée quelques mois avant qu'elle n'accompagne à Francfort son père diplomate.
Evidemment si on a lu
Azami on sait que cet amour est impossible et on est captivé par la lecture comme serait aspiré par le vide un funambule sujet au vertige.
Par contre,
Aki Shimazaki une nouvelle fois cède à la facilité et ne prend aucun risque quant à la fin de l'histoire.
(Et moi je ne vous dirai pas si le funambule a fini par chuter;)Commenter  J’apprécie         342