Tout le monde le sait, les opposés s’attirent. Du paroxysme à l’état pur pour certains, mais une bien vilaine réalité pour d’autres.
S’il y a une chose que mon patron déteste encore plus que moi c’est le fait qu’on puisse essayer de lui dicter sa conduite.
Ce n’est que de l’électricité statique. Ne t’en fais pas, tu ne m’attires pas et je ne vais pas te sauter dessus dans un besoin irrépressible d’adrénaline et de danger.
La peur laisse désormais place au soulagement.
Tout n’est pas tout noir ou tout blanc. Je suis quelqu’un de drôle et d’enjoué, mais ça ne m’empêche pas d’être aussi une personne réservée ayant besoin d’avoir un minimum de calme et d’intimité, d’où la neutralité de cet endroit.
Quelle terrible image que de retrouver la fille ou le fils de, à la une de la presse à scandales, complètement ivre sur le sol après une fête bien arrosée. En effet, les paparazzis rôdent chaque soir dans ce genre d’endroit pour dégoter le meilleur scoop.
New York.
Cette ville, où le vacarme incessant augmente au fil des heures et des jours sans que personne n’y prête attention. Cette ville où, si vous n’avez pas la taille d’un faux mannequin de vitrines de boutique de luxe ou la cervelle d’un matheux s’adonnant au jeu sordide et cruel de la bourse, vous n’êtes personne. Cette ville où personne n’est personne et où tout le monde devient tout le monde. Cette cité urbaine qui donne aux illuminés du monde entier, la prétention de croire encore en un monde irréel où « l’American Dream » existe vraiment.
Bienvenue dans la ville qui ne dort jamais.
Dieu donne ses plus durs combats à ses plus forts soldats. Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus rapides, mais par ceux qui n’abandonnent jamais.