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Critique de Marti94
Ce roman policier est à signaler parce que c'est celui dans lequel apparaît le commissaire Maigret pour la première fois. C'était avant les années 30, alors que Georges Simenon signait sous différents pseudonymes dont celui de Georges Sim pour "Train de nuit".
C'est un très beau titre même si l'histoire se déroule essentiellement à Marseille et non pas dans le train. le narrateur raconte ce qui est arrivé à Jean Monnet originaire de Fécamp, marin à Toulon en permission. Après un voyage en train de nuit, il descend à Marseille. Cette ville n'était pas sa destination mais il le fait pour rendre un service à une belle jeune femme qui le lui a demandé. Il doit remettre un portefeuille qui contient beaucoup d'argent à une adresse qu'elle lui a donné. Ce qu'il ne sait pas c'est qu'il y a eu un crime dans le train. Il est vite suspecté d'avoir tué l'homme à qui ce portefeuille appartenait.
Commence une cavale urbaine dans Marseille sous la neige (ce qui est rare) avec Rita la belle jeune fille avec qui il va vivre une histoire passionnelle, poursuivis par le Balafré qui s'avère être le frère de Rita.
Est-ce par hasard que Georges Simenon a choisi ce prénom de Rita qui est aussi la patronne des causes désespérées.
J'aime bien la construction en trois parties composées de plusieurs chapitres, ce qui donne un ensemble équilibré. Pour autant, si cette histoire à de nombreux retentissements certains sont un peu tiré par les cheveux, surtout à la fin. Et puis, je trouve que le commissaire Maigret et l'inspecteur Torrence sont trop peu présents pour un roman policier.
Heureusement que la ville inspire Simenon qui trouve un écho et un miroir pour ces personnages de paumés mais où finalement tout finit bien.
C'est un très beau titre même si l'histoire se déroule essentiellement à Marseille et non pas dans le train. le narrateur raconte ce qui est arrivé à Jean Monnet originaire de Fécamp, marin à Toulon en permission. Après un voyage en train de nuit, il descend à Marseille. Cette ville n'était pas sa destination mais il le fait pour rendre un service à une belle jeune femme qui le lui a demandé. Il doit remettre un portefeuille qui contient beaucoup d'argent à une adresse qu'elle lui a donné. Ce qu'il ne sait pas c'est qu'il y a eu un crime dans le train. Il est vite suspecté d'avoir tué l'homme à qui ce portefeuille appartenait.
Commence une cavale urbaine dans Marseille sous la neige (ce qui est rare) avec Rita la belle jeune fille avec qui il va vivre une histoire passionnelle, poursuivis par le Balafré qui s'avère être le frère de Rita.
Est-ce par hasard que Georges Simenon a choisi ce prénom de Rita qui est aussi la patronne des causes désespérées.
J'aime bien la construction en trois parties composées de plusieurs chapitres, ce qui donne un ensemble équilibré. Pour autant, si cette histoire à de nombreux retentissements certains sont un peu tiré par les cheveux, surtout à la fin. Et puis, je trouve que le commissaire Maigret et l'inspecteur Torrence sont trop peu présents pour un roman policier.
Heureusement que la ville inspire Simenon qui trouve un écho et un miroir pour ces personnages de paumés mais où finalement tout finit bien.
