L'irrésistible histoire du Café Myrtille

Un libraire m'avait conseillé ce roman quand j'avais demandé une romance qui ne prenne pas la tête sans scènes érotiques pour pouvoir ensuite le passer à mon ado.
Bravo à lui, le livre correspond parfaitement à mes critères.

Néanmoins, je ne peux pas dire que ma lecture a été une réussite. J'ai trouvé le roman très convenu, l'héroïne faisant gaffe sur gaffe (et ne tenant vraiment pas l'alcool) et je n'ai pas réussi à m'enthousiamer pour sa recherche du passé de sa grand-mère ni ses hésitations entre deux hommes.

Parfait pour les vacances et se vider la tête. Je n'ai sûrement pas choisi le bon moment!

Ellen vient de perdre sa grand-mère dont la dernière volonté est de transmettre une lettre à son amour de jeunesse. Elle quitte donc New-York pour Beacon, dans le Maine, à la recherche de ce mystérieux Chet.
Une vie s'est éteinte mais celle d'Ellen semble alors s'éveiller…

C'est un roman sans prétention qui utilise tous les codes du genre de la comédie romantique: le choc « culturel » ou de classe apparente, des situations cocasses, une attirance et le changement de cap dans les projets très arrêtés de l'héroïne.

Là, Ellen est une pure citadine qui, comme sa mère et son fiancé, porte un regard un brin méprisant et dédaigneux sur la vie en semi-ruralité. Ces campagnards qui ne savent pas ce qu'est un centre d'affaires, une petite ville que l'on peut arpenter à pied, un hôtel boudé par la wifi et qui, ô Mon Dieu, ne possède pas de SPA, des loisirs qui semblent se limiter au jeu de fléchettes dans un bar…
Diantre, quelle hérésie pour ces citadins à l'emploi du temps trépidant, attachés à leur BMW comme à la marque de leurs fringues, passant leur temps à faire de l'argent et fréquenter les endroits huppés et en vogue, à refuser la cuvée du chef au restau.

Choc des cultures, donc, prêtant à sourire par bien des décalages dans le comportement des personnages!
Mention spéciale pour Hayden, bénéficiant des soins, sans le savoir, du vétérinaire du coin, pour son horrible blessure le clouant fatalement au lit, le pauvre doudou!
Ce face à face est bien évidemment symbolisé par le combat de coqs entre Roy et Hayden, les deux mâles de l'histoire. L'un est maniéré, avocat briguant une carrière politique, issu forcément d'une famille aisée alors que l'autre est obligatoirement un manuel, simple et chaleureux.
Mais les apparences sont bien entendu souvent trompeuses et le plus beau parti n'est pas celui qui présente a priori le mieux.

Et la miss Ellen, en partant sur les traces du passé de sa grand-mère, va tout doucement, après avoir succombé aux charmes de deux doughnuts aux pommes et d'un certain charpentier local, s'apercevoir que la vie trépidante new-yorkaise ne revêt pas le même attrait de ce qu'elle découvre au fil des jours. Est-ce l'appréhension du futur mariage en grandes pompes et d'un avenir sous les feux des projecteurs qui l'effraye? Ou une volonté plus profonde et durable que le passé de sa grand-mère créé.
Ces manières de citadine au dédain facile sont agaçantes et c'est volontaire pour mieux appréhender le changement qui s'opère en elle pour aborder une version améliorée d'elle-même et de son futur.

J'avoue que j'avais quelques attentes sur le secret familial de sa grand-mère, histoire de compenser avec l'amourette annoncée qui n'auront pas été comblées. Mais ce n'est pas très grave, tant l'ensemble est sympathique, avec un happy end convenu et plaisant.

Avec une plume d'auteur agréable, des personnages attachants et un cadre gourmand et bucolique, ce roman a donc répondu à mes attentes de lecture-détente sans aucune prise de tête. Mais bon… j'ai envie de myrtilles maintenant!
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..

Ellen est avocate à New-York. Dans trois mois elle va épouser Hayden avocat, politicien en devenir. Sa grand-mère avant de mourir lui a demandé d'aller remettre un courrier à un certain Chet dans la petite ville de Beacon dans le Maine. Alors Ellen part pour passer deux jours là-bas.
Elle va arriver dans un autre monde loin de ses habitudes. Lors d'une ballade, elle tombe d'un ponton et manque de se noyer. Elle est sauvée par Roy et devient la vedette de Beacon. En même temps, elle découvre petit à petit une facette inconnu de sa grand-mère. Ce voyage vers la jeunesse de sa grand-mère va devenir un voyage vers elle-même.
L'histoire est jolie, mais je trouve que les personnages n'ont été assez creusés. Il y a un côté "survol" qui m'a un peu dérangée.

Un roman "feel good" assez classique qui ne me laissera pas un souvenir impérissable...Mais je suis allée jusqu'au bout...distrayant entre deux lectures plus sombres

Ellen se rend dans le maine pour accomplir une des dernières volontés de sa grand-mère.

Prête à se marier, avocate brillante, Ellen va remettre en cause ce qu'elle pensait certain.


Bon voilà un résumé succinct de l'histoire.
Je n'irai pas au-delà parce que je n'ai pas accroché vraiement avec ce livre;
J'ai trouvé ce livre un peu cousu de fil blanc, ça ne me dérange pas forcément en général dans les comédies romantiques mais là le triangle amoureux ne m'a pas interessée n'ayant pas vraiment réussi à m'attacher aux personnages.
L'histoire de la grand-mère ne m'a pas non plus tenue en haleine.

Bref une lecture très moyenne pour moi.

Difficile de faire une critique sur un livre, qui ne m'a pas vraiment transcendé.
Sur la 4eme de couverture, ça avait l'air prometteur, mais au final, trop, beaucoup trop de clichés.
La romance est certes jolie, mais le secret de sa grand mère, peu crédible à mon sens, et j'avoue que j'ai eu du mal avec les myrtilles. OK, il y en a plein dans le secteur, mais ça justifie vraiment que l'héroïne ouvre un café pour en faire des muffins, alors qu'on ne sent pas vraiment que la cuisine est sa passion.
Bref, ça reste pour moi une lecture sans prise de tête, mais c'est juste mon ressenti. Peut être qu'il n'était pas pour moi ou que je l'ai lu dans une période moins propice pour l'apprécier.

Petite histoire sympathique sur fonds de myrtilles ... Ellen Bradford est une citadine pure souche, avocate ... Sa vie est toute tracée . Fiancée, elle a déjà une idée bien arrêtée de son avenir...C'est sans compter sa grand mère qui, sur son lit de mort, lui a fait promettre de remettre une lettre d'excuse à un ancien prétendant à Beacon dans le Maine, petite ville côtière.
Une irrésistible comédie romantique qui prône les plaisirs d'une vie simple !

L'irrésistible histoire du Café Myrtille de Mary Simses est un roman frais et drôle. Absolument irrésistible comme indiqué dans le titre. J'ai aimé ce roman avec lequel j'ai passé un bon moment de lecture, très distrayant.

Ellen est une brillante avocate new-yorkaise en passe de se marier avec un excellent parti, Hayden, avocat tout comme elle qui a de fortes ambitions politiques. Lorsque sa grand-mère s'écroule sous ses yeux, cette dernière confie à Ellen une mystérieuse mission avant de rendre son dernier soupir, remettre une lettre à un certain Chet Cummings qui vit dans une petite ville du Maine, Beacon. Ellen va alors mettre entre parenthèses son quotidien de fiancée et d'avocate over-bookée pour faire un saut dans le Maine et en même temps un saut dans le temps, dans le passé secret de sa grand-mère.

Ce roman fait l'effet d'un muffin à la myrtille, sucré et réconfortant. Son héroïne Ellen est incontestablement le point fort du récit, elle est drôle malgré elle, maladroite, un peu bêcheuse sur les bords au début du récit, elle se révèle par la suite extrêmement sensible et touchante. J'ai adoré le point de départ du roman, quand elle chute dans la mer et qu'elle est secourue par Roy. Cet événement va tenir lieu de gag à répétition, comme un chewing-gum qui collerait à la semelle d'Ellen et qui lui vaudra le magnifique surnom La Nageuse. Sa relation avec Roy fait l'effet d'un déjà-vu, Ellen dans le rôle de la citadine qui se redécouvre en prenant le large dans un petit patelin de bord de côte et Roy campant un homme solitaire, un peu ours avec un grand coeur. Une sorte de « je t'aime- moi non plus » s'instaure entre nos deux protagonistes, et même si cela reste plaisant à lire ça ne ménage, soyons honnêtes, aucune surprise. L'histoire de la grand-mère d'Ellen aurait pu être plus captivante et est finalement trop vite bâclée. Je m'attendais à quelque chose de plus romanesque et je pensais que son passé d'artiste allait vraiment donner lieu à des révélations plus éclatantes, du coup je suis restée sur ma faim concernant l'histoire de la grand-mère d'Ellen. L'auteure donne l'impression de jongler péniblement entre deux temporalités, entre le présent d'Ellen et le passé de la grand-mère. Cela donne un récit un peu inégal dans le rythme et dans le développement de l'intrigue.

L'irrésistible histoire du Café Myrtille est une lecture très divertissante. C'est une petite romance fraîche très appréciable en période estivale. J'ai aimé ma lecture même si j'ai regretté la maigre exploitation du passé de la grand-mère d'Ellen.
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Un roman pas désagréable à lire mais dont on devine la fin a peu près à la troisième page. Parfois ça ne me pose pas de problème , là je ne sais pas trop. le titre est assez mal choisi car ce lieu n'apparait que très peu dans l'histoire. La suite de ma critique risque de spoiler un peu le peu d'intrigue qu'on trouve dans ce roman. Il est construit sur deux axes: la quête identitaire d'Ellen au moment présent et le secret de sa grand mère. Clairement le premier est privilégié. Les deux femmes quittent un homme qu'elles aiment pour un autre qu'elles aiment encore plus. Dans le cas d'Ellen, fiancée à un homme qu'on s'attend a finir par détester mais qui se révèle gentleman jusqu'au bout , le lecteur l'accompagne dans le choix qu'elle va faire de le quitter pour une passion naissante. pour sa grand mère par contre je m'attendais à beaucoup plus d'explication sur les raisons de son départ et du fait qu'elle est arrêté de peindre. Je suis rester complétement sur ma faim à ce sujet. Dommage.
Au final il ne reste qu'une banale histoire de triangle amoureux, tout le reste sert de décorum à cette rencontre mais aurait pu être bien plus abouti.

Juste avant de pousser son dernier souffle, la grand-mère d'Ellen va lui confier une lettre à remettre à son grand amour perdu, Chet Cummings.

Le temps d'une escapade à Beacon, petite ville du Maine qui a vu grandir sa grand-mère, Ellen va laisser derrière elle sa carrière d'avocate à New-York et son riche fiancé pour partir à la rencontre du destinataire de la missive.
Une dangereuse chute d'un ponton va la propulser tout droit dans les bras de Roy, son sauveur, et la propulser au rang de célébrité locale.

Le charme de Beacon va opérer sur Ellen qui peu à peu va délaisser son grand train de vie au profit des petites choses simples que la vie peut offrir. Ce qui ne devait qu'être un court séjour va se transformer en expédition qui vont l'amener à retracer le passé de sa grand-mère et à revoir ses projets d'avenir.

Les quelques avis lus au préalable m'avait préparé à la légèreté du roman. Je ne me suis donc que peu appesantie sur le survol de certains événements qui auraient mérité que l'on s'intéresse un peu plus à eux, préférant savourer cette histoire pour ce qu'elle était: un feel-good book.

L'irrésistible histoire du café myrtilles est une histoire légère qui a eu le mérite de me faire passer un agréable moment et je n'en demandais pas plus.
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