Là où un homme et une femme se sont rencontrés et se sont reconnus, l’éternité est prise comme une bulle d’air dans un ambre.
La vie est bonne dans une maison où les caresses s’échangent.
Nos imaginaires creusent les sillons de nos destins. J’ai appris entre-temps à me méfier de mes souhaits car ils finissent toujours par se réaliser.
Tout ce qui tient debout sur terre le doit à la conspiration de l’amour.
Les portraits anciens me parlent. (...) Ils gardent - contrairement aux photos éclairs d'aujourd'hui - la trace du dialogue silencieux qui se tissa entre le portraitiste et son modèle.
Je suis vieux et je vais mourir. Alors je me suis demandé : que puis-je encore faire pour cette terre avant de la quitter ? Et la réponse a fusé, claire : Ôte de cette terre toute trace de ta souffrance !