Le fait d’être resté quelque temps éloigné me faisait prendre le rythme avec plus de douceur, de netteté et de plaisir.
Quand on soulève un serpent par le milieu du corps, il cherche instinctivement à se balancer plutôt qu’à vous attaquer.
Deux choses à la fois, c’était trop pour moi, et j’ai perdu le fil, je n’ai plus entendu la progression, j’ai atterri sur la mauvaise note et je n’ai pas pu rattraper le riff. Je n’arrivais plus à le jouer.