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Critique de Marilire
"White Coffee" de Sophie Loubiere.
Suite de" Black Coffee " ,ce deuxième opus va narrer la vie des protagonistes après la route 66 et ses démons.
Certains sont retournés en France, d'autres sont restés aux USA et leur vie à tous est complètement chamboulée par tous les événements passés en commun dans le 1er tome.
Seul, Desmond est appelé à Chautauqua Institution car plusieurs faits ,dont un va concerner une femme retrouvée sans tête dans le jardin municipal, sont devenus un casse tête improbable à résoudre.
Difficile de faire un vrai résumé sans divulgacher le premier tome .( Merci à Valérie pour ce joli mot).
Malgré une première partie assez longue mais nécessaire qui nous met en place tous les protagonistes et leur nouvelle vie , l'atmosphère est toujours pesante et l'écriture de Sophie Loubiere toujours aussi fluide et addictive.
Nous allons être malmenés surtout grâce à ces allers retours France / USA qui donnent cette rythmique essentielle à un bon polar.
Vous l'aurez compris, mieux vaut avoir lu "Black Coffee " pour apprécier "White Coffee ".
Suite de" Black Coffee " ,ce deuxième opus va narrer la vie des protagonistes après la route 66 et ses démons.
Certains sont retournés en France, d'autres sont restés aux USA et leur vie à tous est complètement chamboulée par tous les événements passés en commun dans le 1er tome.
Seul, Desmond est appelé à Chautauqua Institution car plusieurs faits ,dont un va concerner une femme retrouvée sans tête dans le jardin municipal, sont devenus un casse tête improbable à résoudre.
Difficile de faire un vrai résumé sans divulgacher le premier tome .( Merci à Valérie pour ce joli mot).
Malgré une première partie assez longue mais nécessaire qui nous met en place tous les protagonistes et leur nouvelle vie , l'atmosphère est toujours pesante et l'écriture de Sophie Loubiere toujours aussi fluide et addictive.
Nous allons être malmenés surtout grâce à ces allers retours France / USA qui donnent cette rythmique essentielle à un bon polar.
Vous l'aurez compris, mieux vaut avoir lu "Black Coffee " pour apprécier "White Coffee ".
