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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
On retrouve Cesare faisant une escapade dans les rues de Pise en compagnie d'Angelo et contant fleurette à des jeunes filles lorsqu'arrivent Giovani et d'autres étudiants de la Fiorentina et l'incendie criminel de la manufacture provoque une discussion où Angelo est accusé par l'un d'eux.
Cesare continue sa promenade seul et se fait attaqué par un homme armé d'un poignard. Il arrive à neutraliser l'individu tandis que Miguel finit pas le tuer d'un coup de poignard dans le dos au grand dam de Cesare qui pensait tenir la personne chargé de le tuer et savoir ainsi qui est le commanditaire.
C'est un grand jour qui commence, pour Pise : les étudiants doivent se livrer à une joute organisée par Monseigneur RIARIO, devant toute la population locale. Il s'agit d'une reproduction de scène de guerre pour défendre le pont, donc la ville. Ils s'organisent en deux équipes : l'Italie du Nord dans laquelle se trouvent les Français avec à leur tête Henri et son frère et l'Italie du Sud menée par Cesare et les Espagnols
Ceci va permettre à chacun de montrer son courage, son sens de la stratégie….


Ce que j'en pense :

Ce 5e tome est tout aussi intéressant que les autres, mais on s'éloigne du destin individuel de chacun et de l'intrigue.
Certes, il y a toujours, la recherche de l'auteur de l'incendie de la manufacture, et en tant que lecteur, on cherche à deviner qui a pour mission d'assassiner Cesare. Mais, dans ce tome, l'accent est mis à nouveau sur les rivalités entre les différents clans dans l'université de Pise, et cette fois-ci elles vont s'exprimer au travers de la joute.
Les scènes d'affrontement entre les équipes, les cavaliers sont très belles. Les h hommes sont en armures et côtes de maille, ils ont des armes factices mais peuvent se faire mal quand même, et on oppose toujours les deux races de chevaux (Cesare se remarque facilement avec son cheval arabe). L'art de la guerre est très bien évoqué, la stratégie s'oppose à la force. de ce fait, cela m'a moins intéressée. le travail est toujours aussi brillant et précis, mais j'ai eu un peu de mal à m'intéresser au combat.
Tout d'abord, la technique du combat est particulière, la stratégie d'Henri tenant en un en seul point mettre Cesare à terre par la force, alors que Cesare manoeuvre avec ruse et finesse, on oppose donc la brutalité à la vraie stratégie. L'auteure dépeint vraiment les Français comme des coqs gaulois, des grosses brutes comme je l'ai déjà dit pour un des tomes précédents (est-elle influencée par Astérix et Obélix ????
Je trouve également qu'il y a un contraste important entre la première partie où tout le monde est détendu, l'ambiance de fête dans le village Cesare contant fleurette même s'il est victime d'une agression, les jolies filles et la joute plutôt bestiale qui va suivre même si on retrouve quelques jeunes filles et des supporters qui se déchaînent. J'ai hâte de retrouver l'intrigue…
Ce tome 3 ne m'a pas tellement emballée car les joutes, même bien représentées graphiquement, ne me passionnent pas. Donc, à la limite de l'ennui dans la deuxième partie.
Je maintiens une bonne note car le travail demeure de très bonne qualité et la précision historique aussi.

Note : 7,5/10


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Ce tome de Cesare est très guerrier car il se passe en grande partie lors d'une simulation de bataille avec des armes factices. Les deux clans se forment, le nord contre le sud, en gros, les français contre les espagnols, Henri contre Cesare, rivalité oblige!
Album intéressant pour la mention des armures et leurs complexités, la bataille d'Astouf avec Saladin et Richard Coeur de Lion ainsi que les frères Balue que je ne connaissais point.
Il y est aussi mentionné une figure épique de la Renaissance italienne: Catherine Sforza, une femme dotée d'un tempérament volontaire et indépendant qui représente l'idéal féminin de l'époque.
Un manga encore une fois plein de magnifiques dessins, ceux des chevaux sont extraordinaires. Les armures sont également bien rendues, quasi impressionnantes car la cotte de mailles, pas évident à rendre sur papier.
Cesare se rapproche de la gent féminine et semble un peu moins sérieux que dans les tomes précédents malgré que l'assassin qui lui en veut, lui court toujours après. Angelo est un peu plus effacé mais sauve la mise comme à son habitude. Un tome où à mon avis, le dessin prime sur le texte. Allez, on continue pour le sixième!
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Une saga historique version manga très intéressante et riche, j'aime beaucoup voici mon avis du tome 5. Après l'incendie de la manufacture, Cesare sème sa garde rapprochée dans l'intention d'enquêter. Il attire l'ennemi dans un piège, mais celui-ci finit tuer par Miguel avant d'avoir parlé.

La suite de ma chronique :
Lien : https://lesparaversdemillina..
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J'ai été un peu moins emballée par ce tome qui consiste essentiellement en un exercice militaire de combat pour mettre en scène les rivalités franco-espagnoles non seulement à l'intérieur de la Sapienza (l'université de Pise) mais également entre les deux pays de manière plus large.
Par ailleurs, les personnages s'affirment dans leur complexité et c'est un vrai bonheur !
Sont toujours alliés tension, humour et Histoire, c'est donc malgré tout une lecture très plaisante.
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Un tome bourré d'action. D'abord au tout début, qui se trouve être la suite directe du cliffhanger du tome 4 ; ensuite, avec la traditionnelle mêlée à cheval organisée par l'université. Celle-ci oppose le Nord et le Sud, et l'accent est mis sur la rivalité entre Français et Espagnols.

L'action nous fait tenir en haleine, montre un Cesare possiblement vulnérable. Elle ne révèle pas grand-chose de l'intrigue, mais permet une « pause » intéressante.
Lien : https://uneviedeslivres.word..
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Un peu mieux que le 4, mais toujours un petit cran en dessous des autres.
La bataille dans ce tome prend énormément de place, et ce n'est pas forcément ma tasse de thé.
Je préfère voir Césare progresser dans sa "quête", avec Miguel à ses côtés.

Aussi, Césare se comporte vraiment en gamin gâté au début. C'est un peu contradictoire, car on se demande comment les autres espagnols peuvent autant le respecter s'ils pensent tous comme Francesco... Et Miguel a un rôle très déplacé en tentant de frapper son "maître".

Une évolution du caractère des personnages qui n'est pas forcément à mon goût...
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