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Critique de maylibel
Miles Caldwell, enlumineur agoraphobe, vit retiré du monde, seul avec son perroquet, dans une maison au bord d'un lac. Un matin, il trouve un homme endormi devant chez lui. C'est Adam Craig, célèbre chanteur de hard rock. Il est au bout du rouleau. Miles accepte de l'accueillir, ne serait-ce que le temps d'un café.
Illumination est une romance qui commence plutôt bien : la scène de la première rencontre entre les deux héros est écrite de manière savoureuse et drôle. le jeune enlumineur et le rockeur sont bien décrits, et le métier de Miles leur donne un sujet de discussion assez original.
Mais le problème, c'est que si l'intrigue progresse de façon très efficace dans les premières pages, la mécanique se grippe ensuite. Peu de rebondissements, beaucoup de répétitions : Rowan Speedwell a du mal à se renouveler et sa romance s'étire en longueur. du coup, elle se met à recourir de façon massive aux clichés. Et tout ce qui fait la saveur de l'histoire s'évapore peu à peu.
Un roman d'amour dont on peut se contenter de lire les premières pages avant de le reposer sur l'étagère.
Illumination est une romance qui commence plutôt bien : la scène de la première rencontre entre les deux héros est écrite de manière savoureuse et drôle. le jeune enlumineur et le rockeur sont bien décrits, et le métier de Miles leur donne un sujet de discussion assez original.
Mais le problème, c'est que si l'intrigue progresse de façon très efficace dans les premières pages, la mécanique se grippe ensuite. Peu de rebondissements, beaucoup de répétitions : Rowan Speedwell a du mal à se renouveler et sa romance s'étire en longueur. du coup, elle se met à recourir de façon massive aux clichés. Et tout ce qui fait la saveur de l'histoire s'évapore peu à peu.
Un roman d'amour dont on peut se contenter de lire les premières pages avant de le reposer sur l'étagère.
