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Il y a un côté Buffy dans ce premier tome, les personnages sont un mélange des personnages de Joss Whedon. Et la sauce prend ! C'est moderne et fun, ça dépoussière le mythe.
J'ai pris grand plaisir à lire les aventures de Batgirl et je me ferais un plaisir de lire la suite !
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L'avantage des " Reboot" sur les séries Comics, c'est qu'il est possible de réécrire l'histoire, d'approcher un personnage sous un angle nouveau et d'innover une proposition.

C'est le cas pour cette série " Batgirl" revue et corrigée pour un public plus ados et clairement plus girlie.



Elle est à rapprocher des " Faith" de chez Valiant et " Miss Marvel" de chez Marvel, des personnages jeunes adultes ou grands ados bien dans leur peau, étudiantes le jour et justicières la nuit.

Ces personnages, tout en proposant leur propre univers héroïque sous un titre émonyme, ont chacune gagnée leurs galons de pros en intégrant déja les équipes superhéroïques de chaque éditeur.

Batgirl n'aura, contrairement aux "WonderTwins", jamais fait partie de la Ligue de Justice, toutefois sa connexion de longue date à la "Bat family" en fait un personnage classique de premier plan.

Les auteurs se sont permis un rafraîchissement dans le background et le costume du personnage, la rendant plus populaire et pétillante.



En effet, Barbara Gordon, geek surdouée, coupe le cordon avec papa, le célèbre commissaire Jim Gordon, avec la noire et perverse Gotham et avec l'éternelle et pesante tutelle de Batman.

Les deux s'accordent à tous prix à la surprotéger et la préserver du danger depuis le titre chez Batman" Killing Joke" (réservé à un public grands ados et adultes), où le Joker la cloue dans une chaise roulante d'une balle dans la colonne vertébrale.

Barbara est revenue d'entre les morts, si l'on peut utiliser l'expression, luttant après contre le crime depuis un ordinateur et formant le célèbre groupe d'héroïnes " Birds of Prey".

Mais elle aura l'occasion grâce à une technique médicale expérimentale de se remettre littéralement sur pieds.



Regardez la première de couverture, Batgirl se refait une beauté dans un vestiaire et s'offre un petit selfie.

Oui, la nouvelle série se veut plus légère et plus féminine dans une veine de plus en plus populaire du Girlpower.

Barbara va prendre enfin son envol loin de Bat, de papa et des super cinglés, en déménageant dans les quartiers chics de Burnside.

Les styles graphiques de Babs Tarr et Irène Koh surfent sur le glamour.

Contrairement à la Batgirl des débuts, celle-ci a pris 10 ans de moins et retourne sur les bancs de l'université.

Incroyable.

Celle qui pouvait jongler avec plusieurs écrans d'ordinateur va sembler dépasser entre sa thèse, ses missions nocturnes, les copines et le petit copain.

Le personnage, pourtant précédemment grande "Oracle" détective omnisciente et omnipotente sur les réseaux informatiques, semble vraiment cette fois pleine de doutes mais aussi prête à croquer la pomme à pleines dents comme si elle n'avait pas vécue auparavant.

L'effet Gotham peut-être.



Le style ne plaira pas forcément à tous les publics du Comics mais cela devrait faire l'affaire pour ceux qui se régalent déja de ce mélange de " Fantomette à Riverdale*".
(Archie: série TV et Comics)
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Un comics très moderne qui se concentre sur l'identité sur les réseaux sociaux, la popularité, le partage (et le vol) des données, les applications de rencontres, les start-up, etc. en conservant des thèmes universels comme l'amitié, la confiance, l'intégrité et la justice.
Tous ces thèmes sont employés de manière très cohérente, et s'intègrent très bien à l'univers d'une Batgirl et d'une Black Canary rajeunies.
L'ambiance de colloc et de vie réelle m'a rappelé la saison 9 de Buffy, avec sa vision humaine du super-héroïsme, tout en conservant l'ambiance des anciens comics.
Un très bon démarrage !
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Si j'ai été séduite par le graphisme, énergique et coloré, je n'ai en revanche pas trop accroché à l'intrigue. A moins que ce ne soit les personnages qui m'ont semblé un peu fades. On ne peut pas dire que leur personnalité est développée. L'ensemble manque de nuances et de profondeur. J'ai parfois eu le sentiment de lire une BD jeunesse, ce qui n'est pas un mal en soit (j'adore aussi les BD jeunesse!) Disons seulement que j'attendais à une intrigue plus dense, des personnages plus matures.
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Un démarrage en force pour la nouvelle Batgirl de Burnside !
Après son déménagement dans le nouveau quartier branché de Gotham, Barbara Gordon fait face à une soirée arrosée suivi d'une gueule de bois et d'un rendez-vous chez son directeur de thèse à l'université. C'était sans compter sur le vol de son ordinateur et donc de ses recherches universitaires lors de la dudit soirée qui vont lui valoir une sacré dose d'aventures et elle va faire face à des ennemis insoupçonnés ... Un personnage jeune, accro à son smartphone qui aime faire la fête avec ses amies dans un univers résolument moderne avec start-up numériques et réseaux sociaux omniprésents. J'ai beaucoup aimé les dessins de Babs Tarr avec les moues des personnages un peu exagérés, les couleurs vives, le roux flamboyant de Barbara ... Des planches découpées efficacement entre les scènes d'actions et les scènes intimistes dans la colocation de Burnside ou dans le métro de Gotham. Bref ! C'est un très bon début pour cette série, j'ai vraiment hâte de lire la suite :)
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Ce tome comprend les épisodes 35 à 40, anis que la partie de Secret Origins 10 consacrée à Batgirl, initialement parus en 2015, écrits par Cameron Stewart & Brenden Fletcher, avec une mise en page de Stewart, des dessins et un encrage de Babs Tarr, et une mise en couleurs réalisées par le studio Hi-Fi. le Secret Origin a été dessiné et encré par Irene Koh.

Barbara Gordon a décidé de déménager, de traverser la rivière de Gotham, pour aller habiter dans le quartier en face, appelé Burnside. Elle quitte donc son ancienne colocatrice Alysia Yeoh, pour emménager avec une nouvelle appelée Frankie (pour Francine) Charles. Après avoir pourchassé un voleur de téléphone portable, elle retrouve Dinah Lance (Black Canary) sur les marches de son nouvel immeuble, parce que l'appartement de cette dernière a été détruit par une explosion. Elle découvre également que son ordinateur (contenant les éléments de sa thèse) a été volé lors de la soirée de la veille.

En tant que Batgirl, elle fait fermer boutique à un criminel qui postait les secrets personnels d'individus sur les réseaux sociaux, puis se bat contre 2 jeunes demoiselles adeptes du cosplay et ayant volé des prototypes de motos, puis elle fait face à une fausse Batgirl. Ses activités commencent à lui valoir un début de gloire sur les réseaux sociaux.

Ce tome correspond à une nouvelle saison pour les aventures de Barbara Gordon. Il ne s'agit pas de renier ceux écrits par Gail Simone précédemment, mais d'un changement de vie pour le personnage principal. Ainsi elle déménage, quitte sa colocatrice, et emménage dans un autre quartier. La première page montre le déménagement, dès la deuxième page, Barbara est installée dans son nouvel appartement également en colocation. Les lecteurs des tomes précédents pourront se sentir délaissés par ce changement d'orientation des aventures du personnage, les réfractaires à l'écriture de Simone pourront se réintéresser au personnage.

Dès les premières pages, les changements sont apparents : un ton plus jeune (presqu'adolescent), une Barbara plus vivante (elle ne se souvient plus de la soirée de la veille au soir, ni de son flirt, à cause d'un ou deux verres de trop), un ton plus mode (ces demoiselles font du shopping pour leur garde-robe), un ton plus moderne (téléphone portable et textos), du strass et des paillettes, une fascination pour la reconnaissance et la célébrité. Les scénaristes y vont fort. Babs Tarr réalise une mise en images en phase avec ce ton : des visages jeunes, des corps plus longilignes que musculeux, une attention portée aux toilettes, un peu de maquillage, des moues légèrement exagérées, etc. Dans un premier temps, le lecteur se dit que ça fait beaucoup pour plaire à un coeur de cible de midinettes. Il y a comme une impression de systématisme un peu artificiel, tant au niveau des éléments du comportement que des dessins

Toutefois, rapidement, le lecteur constate que les auteurs ne se contentent pas de placer des éléments jeunes, ils incorporent également des éléments moins superficiels. Pour commencer Frankie Charles souffre d'une maladie des muscles. Ceci n'est pas mis en avant comme un ressort essentiel de l'intrigue, mais juste une caractéristique de sa vie avec laquelle elle doit composer, et qui a des conséquences. Les scénaristes le mentionnent rapidement lors d'un dialogue. Babs Tarr le montre dans une poignée de case. C'est une réalité de sa vie, sans que cela n'en devienne un drame, ou une source inextinguible d'auto-apitoiement larmoyant. C'est également un lien avec la précédente incarnation de Barbara Gordon, en particulier son handicap l'obligeant à se déplacer en fauteuil roulant par le passé.

Stewart et Fletcher racontent bien une histoire de superhéros, enfin de superhéroïne, avec identité secrète, capacités physiques au pinacle, affrontements physiques, et criminels retors et hauts en couleurs. Ils mettent bien en valeur l'une des capacités de Batgirl : sa mémoire eidétique, avec une mise en images qui n'en fait pas un superpouvoir pour autant, mais bien une capacité plausible. S'ils ont un peu rajeuni l'héroïne, ils restent fidèles à son caractère positif, et à son entrain communicatif. Ils la plongent dans une situation d'étudiante (elle a perdu son début de mémoire de thèse).

Une fois passé le mouvement de recul dû à ce changement d'orientation cosmétique, le lecteur apprécie cette nouvelle version de Barbara Gordon, attachante, humaine, amicale (sa relation avec sa colocatrice, mais aussi avec Dinah Lance), et faillible. Elle n'est pas au-dessus d'user de subterfuge, ou de coercition douce (avec son nouveau fournisseur de gadgets technologiques), et même de se tromper. Certes le message relatif aux risques liés à l'équivalent de facebook et twitter est un peu appuyé, mais il est contrebalancé par le développement graphique effectué par Cameron Stewart pour créer de nouvelles marques avec leurs logos (en particulier le réseau social Hooq).

Alors que le début donne l'impression d'un récit trop dans l'air du temps pour être honnête, les auteurs exposent et développent la personnalité de Barbara Gordon (avec toutes ses ressources psychologiques et son astuce), tout en la confrontant aux conséquences de ses choix. Les interactions avec les autres personnages féminins (à commencer par sa colocataire, et Dinah Lance) font ressortir son caractère et sa joie de vivre. Il est impossible de résister à sa gentillesse et à sa détermination.

Babs (pour Barbara) Tarr apporte également une vision très marquée du personnage. Comme pour le scénario, en surface, les dessins donnent l'impression d'un comics pour fille, avec des couleurs pastels ou mode (réalisées par Maris Wicks), des moues un peu prononcées, une forme de candeur assumée, et des tenues vestimentaires sympathiques, voire cool ou flashy (la version du costume de Batgirl tout en paillette). Mais dès le début, le lecteur est également frappé par le naturel des personnages, la bonne densité des décors, et la diversité des protagonistes (même une demoiselle portant le hijab en toute simplicité), le nombre relativement élevé de cases par page (en moyenne 7 par page).

Les images fournissent donc un bon niveau d'immersion (très bon même en comparaison de la moyenne des comics), avec des personnages plein de caractère d'un point de vue visuel, des environnements spécifiques, des comportements vivants sans être caricaturaux. L'aménagement de l'appartement en colocation reflète le type de vie estudiantin (un peu de désordre et de bazar). Cette dessinatrice a décidé de s'éloigner des canons esthétiques en vigueur dans les comics de superhéros, en ce qui concerne la morphologie (pas de corps bodybuildées), sans pour autant aller jusqu'au simplisme des dessins animés pour la jeunesse. Les scènes d'action restent dynamiques et montrent les mouvements plutôt que de se contenter d'accoler une suite de vignettes avec des postures avantageuses. Par comparaison, le travail d'Irene Koh sur les 10 pages de l'origine secrète est plus convenu, et moins séduisant (même si les auteurs en profitent pour évoquer rapidement comment Barbara a retrouvé l'usage de ses jambes).

Après la fin du dernier épisode, le lecteur contemple 9 couvertures alternatives, réalisées entre autres par Kevin Nowlan, Babs Tarr, Cliff Chiang (dont une parodie de la pochette de Purple Rain de Prince), Darwyn Cooke, Bengal, Aaron Lopestri. Suivent une vingtaine de pages d'études graphiques de Cameron Stewart et de Babs Tarr, sous forme de crayonnés.

En 2015, DC Comics décide de faire faire peau neuve à plusieurs de ses séries, sous le slogan générique de "DC you". Sans être estampillée de ce slogan, la série "Batgirl" connait une rupture de ton manifeste avec ce volume, sortant du giron de Gail Simone. le hiatus a pu mécontenter certains lecteurs de la version précédente. le vent de fraîcheur est également bien réel et les nouveaux auteurs proposent une version très cohérente dans sa structure, entre le scénario et les dessins, avec un travail de conception et de développement qui se ressent à la lecture.

Sous des dehors de maquillage artificiel pour toucher un coeur de cible féminin et adolescent (tout comme les séries Gotham Academy (Le secret des Cobblepot) et Black Canary par Brenden Fletcher et Annie Wu), ce premier tome comprend une histoire moins manichéenne qu'il n'y paraît, habitée par des personnages attachants et humains. Même les ennemis ne sont pas juste méchants parce qu'ils sont méchants.
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Bienvenue à Burnside, bienvenue dans un Gotham très fun surtout. Dessins pipous, couleurs chaudes et omniprésence des réseaux sociaux… Je l'ai trouvé vraiment beau et hyper chaleureux, à l'image de son héroïne aussi mignonne que badass. Les différents épisodes sont autant de petites enquêtes avec un même fil conducteur jusqu'au dénouement. J'avoue que je n'ai pas trouvé l'enjeu global du comics fou, fou, fou, mais on reste quand même scotché du début à la fin, parce que ça se lit très bien. Au-delà des selfies, des Instagram et Tinder alternatifs, Batgirl n'a pas oublié de se battre et on a droit à de chouette scènes d'action qui bouleversent la narration BD tradi. Et puis j'ai aimé les quelques rappels glaçants concernant le passé de Barbara, tout comme les nombreuses allusions au fait que l'héroïne puisse être incarnée par plusieurs autres personnages. Ces quelques éléments de second plan permettent de contrebalancer la légèreté de l'histoire et du trait.

Si c'est le côté fun de l'univers de Batman qui vous branche, je vous recommande chaudement ce comics, ultraconnecté, girly mais jamais niais, qui rend un bel hommage à Barbara-gorgeous-Gordon.
Lien : https://prettyrosemary.wordp..
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Barbara Gordon est la fille du célèbre commissaire de Gotham.
Après une longue et douloureuse convalescence, elle repart de zéro à Burnside. Cependant, les démon du passé ne sont jamais loin lorsqu'une imposteur apparaît pour ternir l'image de Batgirl.

Une heureuse découverte ! Je n'avais jamais rien lu sur Batgirl et j'ai pris plaisir à la découvrir dans ce comics. Ce n'es pas un coup de coeur mais un bon moment de lecture sans chichis. le dessin et les couleurs sont agréables, les vignettes et planches découpées de manière cohérente et lisible, et j'ai beaucoup aimé les différents personnages, tous différents et plein de caractère. de même, je les ai trouvés tous très expressifs et j'ai adoré.

Concernant Babs, j'ai aimé son caractère, ses erreurs naïves et son entourage également.

J'ai cependant trouvé dommage que la fin ait été un peu moins compréhensible et lisible.

Je lirai la suite si j'en ai l'occasion !
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Une découverte sympa. Un peu déroutant au début car je ne suis pas une fan de l'univers Marvel, mais en bonne féministe, cela me plaisait de voir une héroïne, et surtout les dessins sont beaux. L'histoire est parfois un peu compliquée mais finalement le livre se complète d'histoires en histoires. Une héroïne très actuelle et très très (trop?) connectée. J'ai bien aimé. :-)
Lien : https://joy369.unblog.fr/
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Barbara Gordon est prête à repartir à zéro, elle s'installe dans le quartier chic de Burside. Cependant, notre Batgirl a du mal à abandonner ses bonnes vielles habitudes. La voilà repartie pour de nouvelles aventures.

On retrouve Barbara après l'incident qui s'est passée dans Killing Joke. Mais ne vous inquiétez pas, je ne vous spolierais pas, pour vous dire, je ne l'ai moi-même pas lu, j'ai été spoiler à mon grand désespoir. Mais après avoir lu celui-ci, je suis très curieuse et je vais comme même lire Killing Joke. Donc surveiller le blog une chronique arrivera bientôt.

Ce qui ressort le plus dans ma lecture est que l'on sent que la maison d'édition a voulu toucher un public plus large. Il y a une ambiance très jeun's tout le long du livre, avec beaucoup de cliché, mais qui ne m'ont aucunement dérangée. Au contraire, le fait que les scénaristes ont su exploiter les nouvelles technologies en introduisant plus d'une fois les réseaux sociaux pour mettre en place l'intrigue a fait de cette héroïne une Batgirl des temps modernes.

Ce comics est rafraîchissant. On voit défiler les conquêtes de Barbara, on la voit sous les problèmes du quotidien : les fêtes, les concerts, le travail, l'université. Ne vous inquiétez cela ne ralentit pas le récit. À vrai dire, le rythme de l'histoire n'est pas très soutenu. Pour ce qui en est des péripéties, je ne suis pas été convaincue. Certaine sont bonne et d'autres beaucoup moins. J'ai détesté l'épisode 37, par-dessus tout la fin que je trouvais horrible et inintéressant, c'est dommage puisque le début était prometteur et m'avait énormément plu. A part cet épisode, j'ai globalement passé une bonne lecture.

Les planches sont sympathiques, les dessins sont modernes, agréables à regarder et à l'image du livre. L'atmosphère présente dans l'histoire se reflète dans les dessins et la colorisation qui est d'ailleurs très vive.

En conclusion, cette série cible sans aucun doute un public plus jeune et ce n'est pas pour me déplaire. J'adore lire de la jeunesse, du young adult donc il est évident que ce livre m'a plu. Cependant, ce n'est pas un coup de coeur, il manque certaine chose, notamment dans les péripéties qui auraient pu être plus poussées et donc rendre le récit plus rythmé. La présence de Dinah ne pourra que vous plaire.
Lien : https://kookiebookinee.wordp..
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