L'histoire fait de bonnes histoires, souvent. Il faut quand même un horloger pour remonter les ressorts. Ici un bon sujet, de bons personnages , mais passée l'exposition des 100 premières pages, rien n'advient. Sur 400 pages, un micro-évènement toutes les 20 pages. Un ennui terrible. A 50 pages de la fin, on se dit comme Jacques Mayol, je suis descendu jusque là, c'est pas pour remonter si près du but. Le quatrième de couverture est de loin ce qu'il y a de mieux dans le livre: c'est la promesse d'un autre roman, qui sera peut-être écrit par un autre auteur, un jour. Lisez le résumé et attachez-vous au mât en attendant que quelqu'un écrive vraiment les aventures de la première femme sheriff.
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