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Critique de Ecureuilbleu
Ce roman de plus de 600 pages se déroule dans le contexte de la ségrégation raciale aux Etats-Unis, dans les années soixante et s'organise autour de trois personnages féminins, deux bonnes noires : Aibileen, la cinquantaine, chargée d'élever les bébés des familles blanches, Minny, domestique rebelle, cuisinière émérite, battue par son mari ivrogne et la fille des maîtres d'une plantation de coton : Skeeter Eugenia Phelan, 23 ans. Chaque chapitre est raconté par l'une de ces trois femmes, dont on découvre ainsi les points de vue et la personnalité attachante.
J'ai apprécié ce parti pris de la romancière qui permet de mieux comprendre les sentiments de chacune.
Autour des trois narratrices évoluent de nombreux personnages, plus ou moins sympathiques, comme Hilly, bourgeoise raciste, odieuse, orgueilleuse, ennemie des trois femmes. Certains passages m'ont émue, d'autres m'ont fait rire et je me suis attachée à Aibileen, noire courageuse, qui a un joli brin de plume et déborde de bon sens. J'ai aimé sa façon d'éduquer les enfants blancs dont elle avait la charge, leur répétant sans cesse qu'ils étaient bien et intelligents.
Lien : http://www.unebonnenouvellep..
J'ai apprécié ce parti pris de la romancière qui permet de mieux comprendre les sentiments de chacune.
Autour des trois narratrices évoluent de nombreux personnages, plus ou moins sympathiques, comme Hilly, bourgeoise raciste, odieuse, orgueilleuse, ennemie des trois femmes. Certains passages m'ont émue, d'autres m'ont fait rire et je me suis attachée à Aibileen, noire courageuse, qui a un joli brin de plume et déborde de bon sens. J'ai aimé sa façon d'éduquer les enfants blancs dont elle avait la charge, leur répétant sans cesse qu'ils étaient bien et intelligents.
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