La lecture d'un roman dont on connait déjà l'intrigue grâce à des produits dérivés est étrange : on a l'impression de retrouver de vieux amis en ayant des souvenirs légèrement faussés d'eux.
Le sexisme du professeur van Helsing est agaçant à lire, même en prenant en compte l'époque d'écriture : "Nous autres, hommes, nous pouvons supporter les dures épreuves". Heureusement, le courage de Mina dans la traque finale n'est pas nié.
J'ai préféré, en littérature vampirique, Carmilla !
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