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Critique de Kassuatheth
Depuis quelque temps, je cherche à renouveler ma collection d'auteurs de polars. Habituellement, avant de prendre un roman d'un auteur inconnu, je regarde sa cote sur Babelio. Ce que je n'ai pas fait pour "La vieille fille et la mort." Et ce n'est juste avant de commencer ma lecture que je l'ai fait : 2,83 et 2 critiques de 4 étoiles. Je me suis donc quelques pages de lecture pour décider si j'allais continuer.
Je n'ai pas vu le temps passer et j'avais déjà lu 60 pages. Cette auteure à une plume que j'adore. Elle a donné son propre nom à son héroïne et celle-ci joue à plein l'autodérision. Elle mixe des mots qui ne vont pas ensemble comme une "bagnole asthmatique. Fermez les yeux et imaginez une "bagnole asthmatique" ou un pourboire proportionnel à son tour de poitrine.
En prime, nous avons droit aux frasques de son cockatiel tout blanc. Il adore se faire chouchouter et suit sa maîtresse partout où elle va. Je ne peux pas m'empêcher de rice à toute les fois qu'il dit « Crôôôt' » parce que c'est le signal qu'il vient de faire ses besoins et je ne peux pas m'empêcher de voir l'endroit où le cadeau a atterri et la réaction de Catherine.
C'est vrai, je n'ai pas encore parlé de l'intrigue. Oui, ne craignez rien, il y en a une lorsque Catherine ne se met pas les pieds dans les plats. Ce n'est pas une véritable enquête, même si Catherine à son petit carnet dans lequel elle met des informations. Elle le fait parce que, comme elle dit, "Je veux – j'ai intensément besoin de – comprendre." Et ce besoin lui permet quand même de dégoter quelques informations qu'elle a un immense besoin de raconter au detect'Yves Tremblay. Ah oui, cette vieille fille à une romance délicieuse avec son detect'Yves Tremblay. Oups! Je deviens comme elle, c'est contagieux.
Ce n'est pas un thriller même s'il y a des moments stressants, surtout à la fin.
Je ne peux pas raconter la finale mais je tiens à dire que là aussi, elle n'a pas eu peur d'une finale que je considère comme un sujet tabou dans notre société.
Je n'ai pas vu le temps passer et j'avais déjà lu 60 pages. Cette auteure à une plume que j'adore. Elle a donné son propre nom à son héroïne et celle-ci joue à plein l'autodérision. Elle mixe des mots qui ne vont pas ensemble comme une "bagnole asthmatique. Fermez les yeux et imaginez une "bagnole asthmatique" ou un pourboire proportionnel à son tour de poitrine.
En prime, nous avons droit aux frasques de son cockatiel tout blanc. Il adore se faire chouchouter et suit sa maîtresse partout où elle va. Je ne peux pas m'empêcher de rice à toute les fois qu'il dit « Crôôôt' » parce que c'est le signal qu'il vient de faire ses besoins et je ne peux pas m'empêcher de voir l'endroit où le cadeau a atterri et la réaction de Catherine.
C'est vrai, je n'ai pas encore parlé de l'intrigue. Oui, ne craignez rien, il y en a une lorsque Catherine ne se met pas les pieds dans les plats. Ce n'est pas une véritable enquête, même si Catherine à son petit carnet dans lequel elle met des informations. Elle le fait parce que, comme elle dit, "Je veux – j'ai intensément besoin de – comprendre." Et ce besoin lui permet quand même de dégoter quelques informations qu'elle a un immense besoin de raconter au detect'Yves Tremblay. Ah oui, cette vieille fille à une romance délicieuse avec son detect'Yves Tremblay. Oups! Je deviens comme elle, c'est contagieux.
Ce n'est pas un thriller même s'il y a des moments stressants, surtout à la fin.
Je ne peux pas raconter la finale mais je tiens à dire que là aussi, elle n'a pas eu peur d'une finale que je considère comme un sujet tabou dans notre société.
