Le faiseur de rêves, tome 1

Quelle magnifique couverture ! Elle ne peut qu'attirer votre regard et vous donner envie de le lire. C'est la couverture qui m'a donné envie de l'avoir entre les mains et c'est son résumé qui m'a donné envie de le lire.
Mais quand est-il de l'histoire ? Malheureusement, le début est un peu lent à démarrer. Je l'ai mis deux fois de côté sans avoir l'envie de reprendre, on est donc loin du coup de coeur. Pourtant, c'est très bien écrit. C'est une très belle plume que l'on retrouve ici et quelle imagination !
Quelques mots ont été créés pour cet univers particulier et renforcent cette idée d'univers à part sans qu'on ait besoin d'un dictionnaire à côté de soi...
Les personnages sont assez bien définis, même si on pourrait reprocher de mettre rapidement de côté tous ceux qui ne sont pas les personnages centraux de ce roman.

Ma plus grande surprise a été de me rendre compte que j'avais entre les mains seulement le tome 1 et non l'ouvrage entier. On aurait pourtant pu croire que plus de 600 pages aurait suffi à boucler la boucle mais apparemment non. Je mets donc la suite sur ma liste, en espérant que ce soit encore mieux (et pour l'avoir lu, oui c'est encore mieux).

L'imagination à son paroxysme.


Ce qu'il faut relevé en priorité c'est qu'ici ce n'est pas Lazlo ni aucun autre personnage qui est le héros du récit mais l'univers.
Laini Taylor a une plume poétique, graphique, qui rend l'immersion onirique au royaume de Zosma. La narration est douce, aérienne presque, c'est du merveilleux de bout en bout. La mythologie et les protagonistes sont maitrisés, on entre en catimini dans un monde coloré et complexe.

C'est contemplatif.
Vraiment. Ce premier tome est introductif : ce qui est normal car l'univers que nous introduit l'auteure est fascinant, on se doit de prendre le temps de faire sa connaissance, de nous y perdre.
Sauf que trop de lenteurs et de répétitions ont quelque peu noyés mon enthousiasme, me rendant confuse.
Que l'histoire prenne son temps pour se dévoiler oui, mais plus de dynamisme aurait été bienvenue.

Le monde des rêves et des cauchemars est exploité avec brio, les acteurs du récit se dévoilent tout en nuances sur la fin et malgré une appréciation moyenne sur la généralité du roman, la suite me fait de l'oeil quant à la dualité suave qui s'opère entre rêves et cauchemars.


Une plume envoutante, incontestablement, qui ravira les amateurs d'onirisme.
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J'attendais beaucoup de ce roman mais je n'ai pas réussi à rentrer dedans et il ne m'a pas fait rêver autant que j'aurais aimé.

Tout d'abord, j'avais hâte de découvrir la Cité décrite dans le résumé et j'ai été déçue. Son potentiel est peu exploité en regard du mystère qui plane autour d'elle dans le début du livre et je l'ai trouvée loin d'être extraordinaire. L'attente et le suspens étaient peut-être trop grands.

Pour la partie concernant Sarai, je n'ai pas vraiment accroché avec les personnages très adolescents, je trouvais ces parties assez lentes et elles ne m'ont pas captivées.

J'ai préféré le dernier tiers du livre où j'ai beaucoup aimé les voyages dans les rêves et où l'action se fait plus présente. Les passages oniriques sont vraiment décrits avec beaucoup de grâce et de subtilité. L'histoire d'amour est touchante et tout en délicatesse ce qui était très plaisant.

Malgré cette lecture laborieuse, je vais tout de même me lancer dans la lecture du deuxième tome pour connaître l'issue de cette histoire.

J'ai beaucoup aimé l'univers créé par l'autrice mais l'écriture est vraiment complexe et pendant les 100 premières pages je n'ai absolument rien compris et ai commencé réellement à m'intéresser à l'histoire après. Il y a beaucoup de longueurs. Aussi, pas trop de suspens puisqu'avant la moitié du livre on comprend où elle veut arriver dans son intrigue... Mais c'est une bonne mythologie et j'apprécie ce livre pour cela.

L'univers est extrêmement riche et fantastique !
Notre personnage Lazlo Strange partagé la passion des histoires, des contes et légendes tout comme nous, j'ai bien aimé voyager à travers ce personnage. Tant de mystères, révélations.
La plume de l'autrice est agréable à lire, comme si c'était une poésie

Mais c'est quand même une petite brique, je trouvais que c'était quand même un peu long même si l'histoire est prenante ! Je pense que c'est surtout qu'il y a beaucoup trop de descriptions à mon goût et le début (les 100 premières pages) trop lent.

[Lecture commune, août 2022 - avec Amy]

Bon. Je m'attendais à ce que ce roman me fasse un effet "wahou" mais ça n'a pas été le cas. On part sur une déception.

Bon clairement, ce qui a fait que cette lecture est une déception c'est le style de Laini Taylor qui ne me correspond pas du tout. Trop onirique, trop poétique, trop dans l'attente de l'action. le poétique, j'aime bien, quand c'est bien dosé et que ça ne prend pas le dessus sur tout. Sinon je suis plutôt apocalypse zombie que poème sur fond de lyre.

Les 20/25 premiers chapitres (sur 67) m'ont parus très longs. J'avais l'impression qu'on faisait du surplace, qu'on nous montrait des choses, mais que l'action et le coeur du récit n'arrivaient pas. J'ai décroché vers ce moment-là.
J'ai tout de même voulu finir, en laissant tomber les paliers de LC et en rushant un peu, parce que je voulais tout de même voir l'évolution du scénario et si j'avais un regain d'intérêt par la suite.
Flash news : ça n'a pas franchement été le cas.

Une fois Lazlo et les autres arrivés à Désolation j'ai trouvé plus fluide l'enchaînement des choses. Et bien que c'était plus intéressant... je n'étais pas dedans. La faute au début du récit qui m'a rendu hermétique comme une huître à tout ce qui se passe.
J'ai été assez indifférente à tous les personnages ou presque ainsi qu'à leur sort.

L'univers est tout de même intéressant et bien construit, avec les rejetons des Dieux, le mésarthium, les pouvoirs, les différents contes et légendes.

La fin est intéressante et je pense que pour un lecteur qui a apprécié ce roman elle donne envie de sauter sur le tome suivant. Pour ma part ça n'a pas été le cas, j'ai quitté cette lecture avec la sensation d'avoir fait un marathon en apnée et je ne lirai pas la suite.


C'est dommage, sur le papier ce livre avait tout pour plaire. Mais il n'était pas fait pour moi. Comme dirait ma binôme de LC (coucou !) "Je suis déçue d'être déçue"

Royaume de Zosma.
Nous suivons Lazlo Lestrange, jeune orphelin, élevé dans une abbaye au coeur d'une citadelle étrange. C'est un enfant très doué, cultivé, grand lecteur qui aime passer son temps dans la grande bibliothèque habituellement réservée aux poètes, penseurs et astronomes.
Dans ce lieu majestueux, une étagère est destinée à "Désolation". Désolation est une citée à l'abandon entourée de mystères et située au coeur du désert d'Elmuthaleth. Personne au Royaume ne s'y est jamais rendu malgré un bon nombre d'histoires et de secrets à son sujet. Lazlo est fasciné par ce lieu. Mais, il est interdit de l'évoquer. L'enfant est d'ailleurs sévèrement puni lorsqu'il pose trop de questions. Plus jamais après cela, il n'en entendra parler.

Quinze ans plus tard, Lazlo a bien grandi. Il aime toujours la lecture et travaille maintenant dans la fameuse bibliothèque. Maître Hyrrokkin, son formateur, veille sur lui. le jeune bibliothécaire n'a pas oublié la cité mystérieuse et a même rédigé des textes réunis dans plusieurs ouvrages durant ses recherches. Personne n'a connaissance, ou presque, de ses écrits. Ils sont enfouis sur une étagère à l'abri des regards. Pourtant, une arrivée au Royaume va en dévoiler leurs existences.

Un savant nommé Nero arrive au Palais. Il exige de suite qu'on lui livre dans sa suite "les oeuvres complètes de Lazlo Lestrange", SES oeuvres, celles d'un simple apprenti bibliothécaire. La raison à cela est la préparation d'une expédition regroupant des scientifiques en direction de la cité oubliée. C'est alors que Lazlo va demander à les accompagner et saura les convaincre.

J'ai choisi ce livre après avoir lu beaucoup d'avis très positifs sur différents blogs. La couverture est magnifique, la quatrième de couverture alléchante. Il y avait tout pour me plaire : un monde imaginaire, une bibliothèque renfermant des secrets, la thématique du rêve. Beaucoup de lecteurs ont eu un coup de coeur pour cette histoire. Alors, je n'ai pas hésité longtemps. Mais, pour moi, ça n'a pas fonctionné. Ennui !

L'idée de base est vraiment bien pensée, l'existence de ce monde autour des livres et de l'inconscience m'a vraiment plu.
Mais, il y a trop peu d'approfondissements. Si tout tourne autour de Lazlo et d'une jeune fille se prénommant Saraï, les autres ne sont pas assez détaillés. La citadelle est trop peu développée à mon goût. Tout est lent, il y a trop de longueurs dans les dialogues et dans l'avancée de l'histoire. J'aurais préféré des descriptifs plus travaillés. Je sais qu'il s'agit d'un roman jeunesse, cependant quel manque de dynamisme. Dommage car l'univers imaginé par Laini Taylor aurait pu être bien plus riche et intéressant.
Je ne poursuivrais pas avec le deuxième tome.

Lien : http://labibliothequedemarjo..

Avis assez mitigé sur ce premier tome. Je l'ai trouvé beaucoup trop long, beaucoup de blabla qui dessert le roman et qui me semble pas utiles et donc cela est difficile de s'accrocher aux 300-400 premières pages mais on continue car l'univers est original et plus qu'intéressant.

Notre héros Lazlo est très loin d'être le héros plutôt le personnage secondaire du roman mais y compris de sa vie. C'est à partir du moment qu'il décide de changer les choses que cela devient intéressant et que l'on découvre un autre personnage.

Le petit plus ça été l'arrivée inattendue du point de vue des enfants livré à eux-mêmes dans cette citadelle bien vide.

Arrivé à la fin du tome 1 et ce joli twist, on a envie de savoir la suite et c'est vite oublié cette longueur du début.

Malheureusement, ça sera une déception pour moi. Pourtant, le résumé promettait une aventure passionnante.

J'ai énormément aimé l'idée de base, avec une cité perdue et des êtres légendaires qui rendent l'univers très original et riche.

Cependant, l'intrigue met énormément de temps à se mettre en place avec des longueurs qui alourdissent la lecture.
De plus j'ai trouvé qu'il ne se passait pas grand chose, les événements ne retenaient pas mon attention.
J'ai également eu du mal à apprécier les personnages. Je les ai trouvés sans plus...

Pour conclure, ce livre n'est probablement pas fait pour moi malgré un très bon potentiel au niveau de l'univers.

Ce roman m'a interpellée par son titre totalement onirique, et lorsque j'ai découvert la couverture, magnifique, j'ai tout de suite su que j'allais plongé dans un univers totalement fascinant. L'accord entre ce bleu profond, et cette reproduction d'un papillon de nuit aux formes dorées et ésotériques est très réussie.

Lazlo Lestrange est un pauvre orphelin, qui mène une vie stricte, terne et dépouillé dans un monastère perdu dans la campagne. Son seul plaisir était les histoires et autres récits que lui contait frère Cyrus. Jusqu'au jour, où il eu l'opportunité d'apporter des documents à la Grande Bibliothèque de Zosma, dont il ne revint jamais. Plongé au milieu des livres, il s'y perdit et s'y trouva. L'enfant continua de grandir et devint bibliothécaire au coeur du grand monument. Mais il restait le rêveur de son enfance, obscédé par cette cité au nom oublié. Puis une délégation de Tizerkanes menée par le tueur de dieux vint recruter des experts, et alors son esprit s'envola.

Laini Taylor, d'une plume poétique et précise, entraîne le lecteur dans un conte merveilleux, ou tout les marqueurs du genre se retrouvent: le petit orphelin terne et abandonné, la quête, les objets magiques, les alliés, les ennemis... L'autrice emporte son histoire dans un univers très travaillé mais toujours rationnel pour la période se déroulant à la grande bibliothèque, puis davantage fantastique pour la seconde partie du roman.

Le personnage de Lazlo est un héros attachant, très candide et déterminé à atteindre son rêve peut importe le temps que cela lui prendra. Il se retrouve souvent le bouc émissaire du groupe dans lequel il se trouve, un peu trop original et rêveur probablement. Ses histoires et autres contes sont ce qui le caractérisent le plus. Il reste un grand rêveur tout au long du récit, et le lecteur aurait bien envie parfois de le secouer un peu. Cette lenteur est parfois nécessaire à l'histoire. Mais pas trop quand même.

La manière dont Laini Taylor amène l'univers du rêve est vraiment originale et très bien trouvée. Cette infinité de possibilités, mais les règles strictes auxquelles est soumise la déesse des cauchemars est vraiment captivant. L'onirisme y est très présent, et l'ensemble tout en étant captivant reste crédible. Concernant le but de l'expédition, le lecteur y est préparé, comme Lazlo d'ailleurs, mais l'autrice développe un univers et une Histoire si complexe et captivante que les pages se tournent de plus en plus vite. Jusqu'à la chute.

Forcément! Quel destin cruel... du coup, le lecteur est tout en émoi. Il se dit qu'il va attendre pour lire la suite de cette histoire. Que tout ça pour ça, c'est vraiment rageant. Et cette gamine irritante et cruelle, dont on comprend la souffrance et la haine, mais qui ne regarde que par un bout de la lorgnette, et que l'on aurait bien envie de secouer à défaut de la jeter dans le vide... (...)
Lien : http://lillyterrature.canalb..