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Critique de Alfaric


Les 200 pages de ce récit nous montre un Cobra affaibli qui doute et qui se remet en cause (ayant la même relation avec le Psychogun qu'Elric de Melniboné avec Stormbringer, avec les mêmes dialogues et les mêmes scènes : oui Buichi Terasawa est fan de Michael Moorcock), fatigué et fortement tenté par l'idée de se ranger… et de se marier avec la belle et courageuse Yûko ! Mais comme leur relation emprunte à celle de James Bond et Teresa di Vicenzo (cf Au "Service Secret de sa Majesté"), tout cela se finit dans le sang et dans les armes avec un Cobra vengeur et destructeur…

Tout commence avec l'illustre Dolore Lovestar qui demande à Cobra de lui servir de garde du corps, mais il avant même de rencontré sa cliente qu'il est attaqué par les cyberninjas et de leur increvable assassin en chef… Car la marchande de mort Madame Papillon (synthèse parfaite des super vilains à la Shotaro Ishinomori et des super criminelles de DC/Marvel Comics) veut récupérer les Yeux de Dieux et confie la protection de l'un d'entre eux à Cobra avant de mourir des mains de l'assassin qui va donner bien de fil à retordre à notre héros malgré son flingue à la Dirty Harry et sa voiture à la James Bond…

Privé de son Psychogun Cobra revient sur terre demander l'aide de son créateur Tesshin Shuiranui (en kanji « le feu follet au coeur d'acier »), mais celui-ci est décédé et il doit négocier avec sa fille Yûko qui hésite sur la marche à suivre… Les cyberkappas et les femmes assassines élastiques envoyés par Madame Papillon interrompent les négociations et sont à deux doigts de tuer Cobra avant de récupérer l'Oeil de Dieu en sa possession.



J'ai préféré la version N&B à la version colorisée, mais j'ai encore passé un bon moment.
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