Lire le quotidien de Saul
Karoo, écrivain totalement auto centré, souffrant à mon avis d'un manque TOTAL d'intelligence émotionnelle, incapable d'éprouver la moindre émotion, s'acheminant grâce à l'alcool et à la cigarette vers une mort inéluctable, s'avère assez fastidieux au bout de de 200 pages. J'ai apprécié l'humour sarcastique de Steve Stesich et son style alerte mais so what ! ...les états d'âme de
Karoo ne m'ont pas suffisamment intéressée pour avaler les 600 pages de ce pavé, du reste très joli !
Commenter  J’apprécie         150