The vanishing girl, tome 1

Roman trouvé dans le CDI du collège... Euh comment vous dire que ce n est pas une lecture pour des collégiens ? Notamment par les quelques scènes erotiques du livre.
L histoire partait sur un bon synopsis et puis je me suis ennuyée. Trop prévisible trop répétitif. Dommage !

J'ai entendu beaucoup de bien sur ce livre. Et beaucoup de louanges et d'exultations dû aux sentiments qu'il fait ressentir. Je regrette vraiment ne pas partager l'avis de ces personnes, car au moins, mes heures passées à lire m'auraient paru rentables et bénéfiques.

Le résumé avait l'air pas mal. Des personnes qui se téléportent, ça aurait été ma première lecture de ce genre si ma mémoire est bonne. Mais hélas, je n'ai pas réussi à être transporté par l'écriture de l'auteur qui, bien que correcte, ne me faisait strictement rien ressentir. Et cela valait aussi bien pour les scène de tensions, d'angoisse ou de romances. Parlons-en d'ailleurs de cette romance. Tout roule comme sur des roulettes. A tel point que c'en est décevant. La soi-disant froideur d'Ember a fondu plus rapidement qu'une glace au soleil de 56° C. Et cette manie à vouloir mettre les personnages à poil dès le départ...et constamment...tout cela m'échappe. 68% du livre est composé de ça. Si encore ça créait une émotion, mais nop...Rien.

Pour les moments d'actions, j'ai trouvé pas mal de parties ultra clichées. Certaines scènes avaient carrément l'air d'être découpées d'un film puis collées dans le livre et ce n'était pas top-top vu mes grimaces.

Le scénario est très prévisible, ce qui a accru mon ennui. Pas de suspense, pas d'envie de connaitre la suite, j'avais hâte de finir le livre pour passer à autre chose.

Côté personnage, on a le mec parfait arrogant, la rivale furieuse qui s'enflamme toute seule et une "héroïne" terne et naïve à souhait. Les questions qu'elles posaient....franchement. Elle m'a paru vraiment sotte, surtout au vu de ses agissements. Elle semblait tout le temps oublier où elle était et faisait clairement des trucs qui lui vaudraient des ennuis sans s'en rendre compte compte avant d'être devant le fait accompli.

Exemples ? Allons-y : elle envoie des mails à ses proches et attends sérieusement de leurs nouvelles. Vraiment ? Elle croyait qu'elle était dans un centre aéré ou quoi ? Deuxièmement, elle fait des recherches sur un type que le gouvernement recherche à l'aide d'un réseau surveillé par le gouvernement !! N'est-elle pas idiote ?Oui, elle l'est. Et enfin, elle s'imaginait que ses déplacements et sa fréquentation avec Caden passerait pour du beurre....Sincèrement ? ça m'a vraiment fait tiqué. C'est trop gros tout ça. Pour tous ces exemples et bien plus, j'ai été indifférente à cette héroïne et à son histoire. J'ai bien trop levé les yeux au ciel pour l'apprécier. Je n'apprécie personne en fait. Les autres personnages sont des figurants juste pour faire genre qu'il y en a d'autres. Caden sort des disquettes valant leur pesant d'or de cliché et voilà quoi, tout le reste est fade et creux.

J'ai l'impression aussi que tout est surestimé dans cette histoire. Que ce soit les compétences d'Ember ou encore les situations dans lesquels ils sont. Et puis, malheureusement, quand l'auteur essaye de créer une "phrase fatal" pour faire choc, ça fait chou blanc. Un très gros chou blanc.

Bref. J'avais quelques étranglements de rire nerveux tant j'étais surprise par les clichées mais en rien par amour des blagues pouvant se trouver dans le livre.

Pour conclure, le livre n'est pas horrible en soi mais il n'avait pas ce qu'il fallait pour me donner un petit coup d'intérêt. Les histoires sans chamboulement que je ne vois pas venir me déplaise vraiment. Même la fin ne m'a pas surprise...quelle tristesse ! C'est vraiment regrettable car ça aurait peut-être remonté mon intérêt mais en tout cas, il est clair et net que je ne lirai pas le tome 2.

Ember, 18 ans, a le don de téléportation depuis sa puberté : environ 10 minutes tous les jours. Je ne vous en dirai pas plus sur l'intrigue. Attention d'ailleurs à la note de l'éditeur qui en dévoile beaucoup trop à mon goût. Au début du livre, je me fais une première impression : l'idée de ce pouvoir est intéressante. Ember pourrait très bien être une X-men. Ça m'a fait également penser à une série que je regardais dans les années 2000 Dark Angel de James Cameron avec Jessica Alba sans le côté sombre de la dystopie dans laquelle des enfants génétiquement modifiés, dotés de facultés physiques et intellectuelles surhumaines, s'échappent d'un complexe militaire visant à produire des super-soldats . Sauf qu'ici, le style est très frais, jeune, direct. le public visé est plutôt ado et ce qui m'a le plus gêné c'est que ça vire rapidement pour tout le reste du livre en roman à l'eau de rose voire soft érotique. Je crois qu'on aura compris qu'un tel a « les muscles saillants » ! Des questions restent en suspens. Certaines qui ne seront je pense jamais expliquées au lecteur (y compris je pense dans les tomes suivants) : ce qu'est exactement l'épissage (on comprend grosse maille ce que c'est sans avoir une explication claire), qui a organisé les « missions » qu'a effectuées Ember avant ses 18 ans qui lui ont fait rencontrer Adrian ? Certains points sont peu crédibles (en acceptant le dogme de la téléportation) : comment font les téléporteurs pour être habillés et équipés durant leurs missions ? C'est plutôt du ressort de la magie de que la simple manipulation génétique. Bref, je ne sais pas si je lirai le suivant quand il paraîtra…

Chaque nuit, Ember Pierce disparaît. Elle a la capacité de pouvoir se téléporter dix minutes pendant son sommeil. Elle se retrouve à l'autre bout du monde ou dans la maison du voisin et doit vivre avec ce secret. Pour son dix-huitième anniversaire, une marque étrange apparaît sur son épaule après avoir été téléportée. Elle décide de cacher cette marque par un tatouage, au risque de s'attirer les foudres de ses parents. C'est également pour ses dix-huit ans, qu'un jeune homme séduisant la capture pour la livrer au gouvernement. Transférée dans un camp d'entraînement secret, elle apprend qu'elle n'est pas seule à avoir cette faculté et qu'elle doit désormais s'entraîner et partir en mission pour le gouvernement, accompagnée de son binôme qui n'est autre que l'homme qui l'a capturée.

On nous promet de l'action, du fantastique… et je ne m'attendais pas du tout à avoir une romance (quelle naïve je fais parfois.) D'ailleurs, cette romance, on l'aime ou on ne l'aime pas, personnellement je n'ai pas trouvé qu'il s'agissait d'un point fort du livre. Les états d'âme des deux protagonistes engendrent parfois des longueurs et j'avais un petit démon sur mon épaule me hurlant « on s'en fiche, vite, à la baston !! » qui a été difficile de faire taire.

Heureusement, l'intrigue est bien ficelée et l'on veut en savoir toujours plus sur le projet Prométhée et ses téléporteurs. Les frontières se brouillent entre les bons et les méchants et l'on se retrouve aussi perdue d'Ember à vouloir découvrir la vérité.

Globalement, le rythme est constant, il n'y a pas un chapitre où l'on s'ennuie et ce premier tome pose de nombreuses questions et il faudra attendre les tomes suivants pour connaître le fin mot de l'histoire. Parlons-en, d'ailleurs, de la fin de ce premier tome. Comme beaucoup de saga, la fin du livre est synonyme de cliffhanger. On se retrouve le nez sur la quatrième de couverture à se demander pourquoi le monde est si injuste avec nous et pourquoi la suite n'est pas encore sortie (pour les petits fûtés, le tome 2 est déjà paru en version originale !). Je ne raffole pas de ce procédé narratif qui consiste à laisser le lecteur à bout de souffle au bord d'une page en lui soufflant gentiment à l'oreille « t'inquiète, la suite arrive….mouhahaha », d'autant que dans le cas The Vanishing Girl, on le sent arriver 100 pages avant la fin… néanmoins, bien qu'étant prévisible, c'est toujours aussi frustrant de se retrouver le bec dans l'eau à la fin d'un livre.

Comme je vous l'ai annoncé au début de cet article, la romance ne m'a fait ni chaud ni froid (plutôt froid même d'ailleurs.) mais je pense que le problème vient avant tout des personnages. Ember reste au fond une ado stéréotypée (qui pense soit à l'amour, soit à sa survie, en mode binaire jour et nuit) et ses réactions manquent un peu de sens logique parfois, d'autant qu'on nous la vend comme étant très intelligente justement. Caden, son binôme, sert uniquement à lui faire tourner la tête. En règle général dans ce roman, tout le monde est absolument époustouflant de beauté : du muscle saillant et des courbes à te donner le vertige, en veux-tu en voilà, olalala c'est chaud -et c'est ch*ant.
Le surnom agaçant, la pseudo-rivalité, la séduction en carton et le désir naissant… Pour moi, c'est du réchauffé sur toute la ligne. Il suffit de copier/coller ces quelques lignes dans n'importe quel roman ado/YA, on change les prénoms et c'est reparti pour un tour. Oui, je suis peut-être un peu dure, mais ça m'a agacée de lire ça.
En bref, le concept de base de l'histoire est vraiment bon mais l'application se termine par un petit flop au fil des pages. Par simple curiosité, je lirai le tome 2 pour voir l'évolution de l'écriture et guetter la tournure des événements.

Un roman sympathique à lire, sans plus de prétention.
Je déplore le manque de descriptions et d'esthétisme dans les décors et la narration.
Les personnages sont assez stéréotypés et manquent de profondeur, de défauts ; c'est d'autant plus le cas pour les personnages secondaires qui ne servent quasiment pas le récit.
L'histoire est plutôt limpide, l'action assez lente, pour autant on en vient à bout sans trop s'ennuyer.
Je lis toutefois le 2e tome pour voir où mène l'histoire.

Je tiens à remercier Babelio pour l'opération Masse Critique ainsi que les éditions Amazon Crossing pour l'envoi de livre qui me faisait très envie! J'ai beaucoup aimé l'idée de basse de ce livre à savoir des personnes qui se téléportent quelques minutes après s'être endormies et qui se réveillent dans des endroits improbables. On suit Ember qui est une téléporteuse et qui voit sa vie changer du jour au lendemain à cause de l'accord que ses parents ont fait au gouvernement dans le but de l'avoir. Elle se retrouve donc parachutée du jour au lendemain dans un complexe militaire sans avoir de contact avec sa famille et ses amis. J'ai bien aimé son caractère même si j'aurais aimé qu'elle se rapproche plus d'autres personnages que Caden, lui aussi un téléporteur du gouvernement. J'ai particulièrement aimé le début du livre qui permet d'être dans l'action dès le premier chapitre. Et après cela s'est gâté…
J'ai trouvé le milieu du roman très ennuyant. Je n'ai pas du tout aimé la romance entre Caden et Ember et je trouve que, pour un roman Young Adult, certaines scènes étaient beaucoup trop érotiques et vraiment explicites. Ce qui m'a également gênée c'est qu'à part Desiree (trop stéréotypée « méchante » à mon gout d'ailleurs) on ne rencontre pas d'autres téléporteurs. J'aurais vraiment aimé en rencontrer d'autres et d'avoir leurs spécialités de téléporteur et connaître leurs points de vue.
Enfin, j'ai manqué de réponses à de nombreuses questions. Alors oui il s'agit d'un tome 1 mais j'ai manqué d'information quant à leurs téléportations. Comment arrivent-ils dans un endroit précis ? Comment ont-ils du matériel en arrivant ? J'ai de nombreuses questions et j'espère qu'elles seront éclaircies dans le tome 2.

En bref, j'ai beaucoup aimé l'intrigue de base mais j'ai trouvé l'écriture molle et la romance ne m'a pas plus du tout car étant trop présente. Je pense que je lirais le tome 2 afin de répondre à mes nombreuses questions et j'espère que l'écriture sera beaucoup plus vivante !
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Une lecture globalement en demi-teinte pour moi, donc. Si l'univers et cette idée de la téléportation pendant son sommeil m'ont vraiment plu, le reste m'a laissée froide. En effet, on est dans un univers que je qualifierai de science-fiction, où l'on peut vraiment se poser la question de la crédibilité du tout. J'ai beaucoup aimé que l'auteure prenne le temps de nous expliquer les limites de cette modification génétique, ainsi que ce qui en découle tel que le développement d'autres sens chez les téléporteurs. Voilà pour les points forts...

Je ne sais pas vraiment par où commencer. L'intrigue ne m'a absolument pas accrochée. Aucune surprise, des scènes de fesses à répétition et sans grand intérêt, beaucoup de questions posées et peu de réponses apportées. Notamment autour de ce complot gouvernemental: quel est le réel but de cette expérience ? A qui cela va-t-il profiter ? Pourquoi ? ... Une histoire donc assez légère qui s'accorde au style de l'auteure qui ne m'a absolument pas transportée. Elle est fluide, simple, mais assez "anonyme" et ne marquera pas mon esprit.

Les personnages non plus ne m'ont pas spécialement plu. Caden et Ember sont très prévisibles et la formation du couple a été la goutte d'eau en trop. J'aurais tellement apprécié un binôme qui ne se supporte pas, ou, au moins, qui prenne le temps de se découvrir. Les personnes secondaires ne m'ont pas fait chavirer non plus. Ils ont des réactions incompréhensibles mais ne comptez encore pas sur l'auteure pour nous les expliquer dans ce premier tome.

En conclusion, "The vanishing girl" est pour moi une lecture plus que mitigée. En dehors de l'univers je n'ai rien apprécié. Et, c'est vraiment celui-ci qui m'a poussé à poursuivre ma lecture tant mon envie d'en apprendre plus sur ces téléporteurs était là. Ce qui est sûr, c'est que je ne lirais pas la suite.

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Le concept de teleportation m'a bien plu, cela ouvre un large panel de possibilités. Toutefois, j'ai globalement été plutôt déçue par ma lecture. Tout bascule bien trop vite pour Ember, la situation initiale n'a pas le temps d'être posée qu'elle fuit déjà. J'ai eu du mal avec Ember, obsédée par ses hormones et qui ne réfléchit pas plus que cela. En arrivant dans un complexe gouvernemental secret, il n'aurait pas dû être difficile de réaliser qu'elle serait surveillée, et que ses communications avec ses proches seraient coupées - et qui effectuerait des recherches internet sans supposer qu'on puisse la suivre ? Caden est plutôt sympa, mais difficile de faire plus cliché : bad boy ténébreux, uniquement défini par son apparence, avec un passé mystérieux (oh surprise) qui appelle Ember « princesse » - plus original comme surnom, tu meurs.Ils ont une fâcheuse tendance à se retrouver nus, à se tripoter sans cesse alors que rien ne laisse suggérer un tel contenu au premier abord. Je vais lire la suite, plus par envie de connaître le dénouement que par goût pour la plume.

Nous commençons donc notre lecture en suivant le personnage d'Ember, jeune fille sympa, sans histoire, qui va au lycée comme tout le monde. A un détail près qu'elle se téléporte chaque nuit lorsqu'elle s'endort pendant 10 minutes. Ne contrôlant pas sa destination, elle peut alors se retrouver sur une île déserte, en plein New York ou encore au milieu de l'océan.

L'idée principale est bonne, malheureusement l'auteure ne l'a pas traitée dans le sens où je l'attendais (normal après tout, c'est son livre pas le mien !). Ember est recrutée (de force) par le gouvernement, qui lui apprend que ses gênes ont été modifiés : ses parents ont participé à un programme d'aide pour avoir un enfant, financé par l'Etat, la contrepartie étant que cet enfant, une fois adolescent, devait mettre ces dons au service du gouvernement durant 2 ans. Ember va donc être formée et bosser en tant qu'espionne à leur compte.

Le début du tome passe très vite, même un peu trop vite. L'excuse des militaires armés venant la chercher, l'embarque et hop ! ni une ni deux, notre miss se retrouve enfermée dans un centre d'entrainement avec de nouveaux copains à l'autre bout du monde… bon, c'est un peu rapide et facile.

J'ai eu du mal à apprécier le personnage d'Ember. Un moment elle est terrifiée par ce qui lui arrive, et l'instant d'après elle couche à tout va avec son partenaire de crime : Caden. Bon bon bon… les pulsions sexuelles de nos jeunes héros m'ont vraiment agacé. Cela n'amène rien à l'histoire, et je n'ai pas du tout aimé la façon dont elles étaient écrites.

Ce roman possède tout de même un bon suspens et de bonnes scènes d'actions avec les missions. Il y a un vrai fil conducteur et un grand travail pour, je pense, poser les bases d'une intrigue plus grande par la suite.
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