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Critique de Clelie22
Ah ! Si tout était aussi simple que dans Un boulot d'enfer !
Voilà un petit roman très accessible, plutôt destiné à des collégiens. Bien qu'il commence plutôt mal, par la mort de l'héroïne et de son père (faut le faire quand même !), c'est finalement un récit humoristique, plein d'optimisme et d'espoir.
Après leur mort, Nina et son père se retrouvent au paradis. Après quelques jours à se la couler douce, on leur propose de devenir des anges-gardiens. le père de Nina, brillant homme d'affaires, se voit confier le sort d'un bébé abandonné quelque part à la frontière de l'Afghanistan et du Turkménistan. Pour Nina, c'est encore pire : elle doit veiller sur sa pire ennemie, Priscille Grant, une pimbêche insupportable et pourrie gâtée. En plus de cela, elle s'aperçoit que sa mère a complètement sombré depuis la mort de son mari et de sa fille. Mais Nina n'est pas du genre à rester les deux pieds dans le même sabot. Avec les autres anges-gardiens, elle monte un plan qui doit permettre de sauver la petite orpheline et redonner le goût de vivre à sa mère tout en mettant Priscille Grant à contribution, et tout ça avec le seul muscle dont disposent les anges : le muscle de l'amour.
Il n'y a pas grand'chose à dire de ce roman. C'est un roman agréable et facile à lire, léger. S'il effleure quelques problématiques sérieuses (la misère, la solitude, le deuil...), les solutions proposées paraissent plutôt irréalistes. Une histoire divertissante.
Voilà un petit roman très accessible, plutôt destiné à des collégiens. Bien qu'il commence plutôt mal, par la mort de l'héroïne et de son père (faut le faire quand même !), c'est finalement un récit humoristique, plein d'optimisme et d'espoir.
Après leur mort, Nina et son père se retrouvent au paradis. Après quelques jours à se la couler douce, on leur propose de devenir des anges-gardiens. le père de Nina, brillant homme d'affaires, se voit confier le sort d'un bébé abandonné quelque part à la frontière de l'Afghanistan et du Turkménistan. Pour Nina, c'est encore pire : elle doit veiller sur sa pire ennemie, Priscille Grant, une pimbêche insupportable et pourrie gâtée. En plus de cela, elle s'aperçoit que sa mère a complètement sombré depuis la mort de son mari et de sa fille. Mais Nina n'est pas du genre à rester les deux pieds dans le même sabot. Avec les autres anges-gardiens, elle monte un plan qui doit permettre de sauver la petite orpheline et redonner le goût de vivre à sa mère tout en mettant Priscille Grant à contribution, et tout ça avec le seul muscle dont disposent les anges : le muscle de l'amour.
Il n'y a pas grand'chose à dire de ce roman. C'est un roman agréable et facile à lire, léger. S'il effleure quelques problématiques sérieuses (la misère, la solitude, le deuil...), les solutions proposées paraissent plutôt irréalistes. Une histoire divertissante.
