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Comment quelques jeunes désoeuvrés des quartiers Nord de Marseille , trafiquotants pour tenter de combler l'ennui peuvent tomber dans le terrorisme islamique ? Par défit ou tout simplement par mimétisme, captivés par ces vidéos effroyables qui circulent sur Ie Net ? Nourris par cette violence gratuite qui les poussent à commettre, eux aussi, l'irréparable au nom d'une religion dont ils ne comprennent pas le moindre de ses enseignements.
De l'autre côté de la ville , le commissaire Franck Massonnier et son compagnon Lotfi, inspecteur dans son équipe de l'Evêché mènent une enquête qui mêle justement trafic de stupéfiants et islamisme. Un trafic de drogue sans pitié à qui tente de monter son propre business et qui touche de près le commissaire dont la fille, Maï, est une consommatrice assidue. Difficile de ramener dans le droit chemin une adolescente en plein doute et remplie de colère envers ses parents divorcés, d'autant plus quand le père est flic et homosexuel.
La rencontre de ces deux mondes risque d'être brutale et sanglante.

L'histoire que nous raconte ici Ahmed Tiab résonne dans nos têtes comme un air de déjà vu ou de déjà entendu alors que les attentats d'EI qui ont décimés notre pays ces dernières années sont encore ancrés dans notre mémoire collective. Car les terforistes qui ont commis ces attentats et ces assassinats étaient pour la plupart des français comme ces jeunes que décrit l'auteur.
En toile de fond de ce récit la vile de Marseille, cette cité phocéenne ou se côtoient sans se mélanger ces différentes cultures méditerranéennes, si proches et si différentes.
Un roman noir, percutant et glaçant de réalisme.
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Une histoire très actuelle qui pourrait se passer dans la banlieue de Marseille. Deux jeunes regardent fascinés et admiratifs sur leur smartphone une vidéo venue de Syrie, la décapitation d'un homme cagoulé. Ces rejetons de deuxième génération d'Algérie, oisifs, peu enclins à trouver du travail dont les parents sont jetés dans les usines au chômage. Des parents qui ne se sentent ni français, ni arabes et laissent leurs enfants dans les mains des prédicateurs de la haine qui en feront des recrues pour Daech. le policier et son assistant qui est aussi son ami et amant et leur relation de tendresse apporte un peu de baume dans cette histoire sordide. A Marseille, la police n'impressionne plus les malfrats, elle se contente donc de la surveillance vidéo. Un polar bien écrit et passionnant qui pourrait être, malheureusement, inspiré de faits réels. JB
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Je n'écris pas de critique puisque j'en est trouvé une qui aurait pu être la mienne (en mieux écrit probablement)
Je l'ai trouvé dans le site "quatre sans quatre" que je ne connaissais pas mais qui a l'air très bien :

"Un polar super bien ficelé où Ahmed Tiab aborde bien des sujets sans avoir trop l'air d'y toucher : la déshérence des jeunes issus de l'immigration, les diverses manipulations dont sont victimes ces mêmes jeunes via internet, le rejet de l'homosexualité, les difficultés des adolescents aujourd'hui, l'amour absolu d'un père et les haines absurdes, préfabriquées véhiculées et entretenues. J'aime son écriture fluide qui ne s'appesantit jamais mais touche juste quand il souhaite faire passer un message. Il sait donner vie à ces jeunes déboussolés, armés de quelques sourates incomprises dans une langue qu'il ne maîtrisent pas, commettant des actions sordides, atroces, pour singer les vidéos captées sur le web, vivant leurs forfaits tels des personnages de jeux vidéos désincarnés

Ce roman est rude, acide, il traite de sujets perturbants, sans pathos, mais jusqu'au bout, ne mettant pas la pédale douce pour édulcorer son propos lorsque celui-ci peut déranger. Il décrit une société en crise, divisée, une sorte de guerre civile à plusieurs étages, générationnelle et sociale, dans laquelle les conflits lointains ne peuvent plus être ignorés. Abreuvés de télé-réalité et d'informations pipeautées, de flux de vidéos de propagande ciblées, les exclus se rangent comme ils le peuvent dans la marge afin d'obtenir une identité, s'érigeant soldats sans commandement, troupes éparses aux actions erratiques dont le seul but est d'être reconnus, avant d'être, bien évidemment, manipulés par plus malins ou aguerris qu'eux. La com', la com', la com'...
Avec Pour donner la mort, tapez 1, Ahmed Tiab signe un grand polar et s'affirme roman après roman comme un des auteurs de littérature noire qui comptent en France aujourd'hui.
http://quatresansquatre.com/
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Marseille à notre époque.
Deux flics, Franck Massonnier et Lotfi Benattar, homosexuels, en couple.
Franck divorcé, dont la fille lui reproche d'avoir quitté maman pour un homme.
Lotfi, musulman, dont la famille lui reproche son homosexualité car c'est péché et interdit par la religion.
L'un comme l'autre sont des écorchés vifs, on s'en serait douté, forcément les flics, en littérature, de nos jours sont des écorchés vifs. On en viendrait, presque, à regretter ce brave commissaire Maigret, si, si.
Je me suis un peu perdu dans l'intrigue comme je me suis beaucoup perdu dans ce livre. Effectivement, au début, l'auteur nous branche sur des djihadistes racketteurs des quartiers sous obédience Daech EI13 (pour Bouches du Rhône) pour finir par des supporteurs kurdes d'un kurdistan libre et indépendant au nez et à la barbe des turcs, en passant par le rapt de la fille du commissaire et un détournement, par le même commissaire, de la drogue destinée à être détruite par les services de police sans que ces derniers ne s'en aperçoivent. Ce qui, au demeurant, fait penser à Arsène Lupin, mais n'est, absolument pas sérieux. Pour le moins dans le contexte. Nous assistons à plusieurs enquêtes éparpillées, des interventions dans l'est de la France par les mêmes du 13, est-ce possible, ça, sérieusement ? Et bien entendu la cellule antiterroriste de Paris et les classés S.
Une dose de remplissage, notamment quand Lotfi secoure une fille agressée par des routiers espagnols sur un relais d'autoroute, sans absolument aucun lien avec l'intrigue du bouquin. A moins que ce soit pour montrer la grandeur d'âme et le côté chevaleresque du bonhomme, je suis loin d'en être certain.
La fin laissera au lecteur, c-à-d moi, beaucoup de questionnement. J'avoue avoir perdu mon latin là-dedans, on s'éparpille. Dur de faire entrer tout ça, sans plus de développement,dans un peu plus de 200 pages, sans parler de la crédibilité déjà évoquée plus haut.
Pour le reste, je ne suis pas bilingue ni trilingue et je ne connais pas le sens de Macha'Allah, ni de Maricon, un peu d'explications M. TIAB. Idem pour La Timone et l'Evéché à Marseille, merci Google. Pensez à vos lecteurs chers auteurs et non à vous, égoïstes que vous êtes! Les grossièretés dans un dialogue, d'accord, des malfrats, des jeunes et des flics parlent ainsi, dans le récit, non! de même, de grâce: "pas que" n'est pas français et est inélégant, pourquoi ne pas employer tout simplement "pas uniquement, pas seulement"?
Je n'ai pas entendu ni la sonorité des mots, ni des phrases. Pas de musicalité à mon oreille, pas d'harmonie. Mais est-ce souhaitable dans un ouvrage aussi noir ?
Allez M. Tiab vous pouvez mieux faire.
Je remercie Babelio de m'avoir permis la lecture de ce livre et à l'éditeur l'aube NOIRE de me l'avoir fait parvenir.
2,5/5
Derfuchs 07/02/18
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Assez souvent je me dis que mon flair est très bon pour choisir parmi les polars que l'on me propose. Et je dis ça sans aucune prétention, car là j'ai pris un « risque » en choisissant un auteur que je ne connaissais pas.

On est plongé dans la grande ville de Marseille et en particulier dans les quartiers Nord, mais pas que. le début nous montre comment des jeunes de cités peuvent se laisser entrainer à la radicalisation. L'auteur nous montre très bien, sans entrer dans une grande analyse, les différents mécanismes qui mènent à l'islamisme radical. On voit très bien en quelques pages à peine l'évolution de pensée et de vision qui s'opère chez ces jeunes. Il n'y a aucun jugement de la part de l'auteur. Il montre les faits.

Ensuite on plonge vraiment un bon polar à l'ancienne, mais très actuel. L'auteur a écrit une histoire très réaliste. L'écriture n'est pas exceptionnelle, mais il a vraiment le don de bien raconter son histoire et de nous garder en haleine jusqu'aux dernières pages. Il n'est pas question que de l'islamisme, mais aussi du trafic de drogue et du lien entre les deux. La question sociale est aussi très présente, mais sans excuser le comportement des différents protagonistes.

Les personnages reflètent très bien la société actuelle et permettent de mettre en lumière différentes problématiques. On s'attache très vite à ce duo/couple de flic homosexuel. Là encore l'auteur ne tombe pas dans la caricature ou juste pour faire à la mode.

Ce polar m'a vraiment bluffé jusqu'à la dernière page. À l'époque où beaucoup d'éditeurs censurent leurs auteurs au point de nous livrer des polars fades et loin de la réalité, on a là un éditeur et un auteur qui nous livre un polar qui bouscule et qui nous scotche par son degré de réalité. Je serais très curieuse de mieux connaitre cet auteur et comment il a fait pour écrire un polar comme celui-ci. Par chance j'ai un autre livre de cet auteur que je vais lire assez vite.

En attendant lisez ce polar !!!


Lien : https://leslecturesdamandine..
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Ca se passe à Marseille ! Dans les quartiers nord, deux jeunes désoeuvrés d'origine algérienne qui aiment bien la drogue et ne connaissent rien à la religion cèdent aux sirènes de l'islamisme après avoir regardé des vidéos de snuff movies et de propagande djihadiste en fumant des joints. Ca leur donne l'idée de monter leur antenne locale de l'Etat islamique.
De l'autre côté de la ville, le commissaire Franck Massonnier et son compagnon Lotfi, inspecteur dans son équipe, mènent une enquête qui mêle justement trafic de stupéfiants et islamisme. Ce trafic touche de près le commissaire : sa fille Maï, 17 ans, est une consommatrice assidue et en révolte contre ses parents. Elle n'accepte pas l'homosexualité de son père ni le fait que sa mère ait refait sa vie avec un avocat pédant et arrogant, et sa rébellion d'adolescente et ses fréquentations vont lui faire prendre une mauvaise tournure.
Voilà un roman noir vraiment noir, très réaliste et bien écrit par un auteur algérien qui a l'air bien talentueux. le suspense y est assez intense, l'atmosphère glauque au possible malgré le soleil et le chant des cigales, et la critique sociale sous-jacente est très réaliste. J'ai adoré !
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«Putain, mais t'as vu les mecs ! Ils attendent peinards,
chacun derrière son condamné, couteau à la main.
Et aucun ne tremble ! Ils vont les saigner comme des porcs, sans aucune hésitation ! Des vrais oufs, macha'Allah ! »
Comme chaque fin de semaine, Sofiane et Hocine se
retrouvent en bas de l'immeuble pour bavarder de longues heures durant en attendant d'être appelés pour dîner. Ils profitent de ces petites réunions du week-end pour visionner ensemble les dernières vidéos en provenance de Syrie tout en fumant quelques joints. Ils jouent les affranchis et commentent avec une excitation teintée d'admiration les courts reportages de téléréalité sanglante charriés par les sites djihadistes, souvent camouflés derrière de fausses images de chatons à cliquer ou de promesses pornographiques qu'ils savaient retrouver sur leurs smartphones. Ils connaissent par coeur
les stratagèmes des sites islamistes pour irriguer la toile de leur exhibitionnisme morbide. Les deux jeunes hommes se paient de mots en reprenant les formules entendues des dizaines de fois sur les réseaux. Phrases souvent dites en arabe, une langue à laquelle ils n'entendent souvent rien. Ils répètent à s'en goinfrer les mots venus du Shâm, contrée dont ils sont incapables de dessiner les contours, patrie fantasmée de ceux qui n'en ont plus.
Ils se remplissent ainsi des quelques phrases apprises
pendant le mois de vacances qu'ils passaient au bled en été lorsqu'ils étaient encore minots. Trop vieux pour être obligés d'obéir à leurs darons à présent, ils refusent d'y aller, prétextant des stages bidons ou bien des jobs d'été minables. Ils ne veulent plus qu'on les traite d'immigrés, de moitié de musulmans dans la patrie de leurs parents. Ils ne supportent plus qu'on mate leurs frangines parce qu'elles sont habillées comme en France, c'est-à-dire presque comme des putes à leurs yeux ; qu'on lorgne sur leurs fringues et leurs tennis de marque, qu'on convoite leurs iPhones et qu'on les considère comme des proies, des pigeons juste bons à dépouiller.
Tant qu'à partir à l'étranger, autant aller loin dorénavant.
Ils avaient expérimenté une ou deux fois la nouvelle destination à la mode sur les conseils des copains de la cité : la Thaïlande. Mais ça n'avait pas duré.
Lorsqu'ils allaient encore au bled, quelques années auparavant, les départs étaient vécus comme des moments de fête. Toutes les familles, voire presque tout l'immeuble, s'y préparaient longtemps à l'avance, et plus la date approchait, plus les vieux se remettaient dans le bain originel en reparlant le dialecte de leur enfance à toute occasion ou bien en remettant dans leur français l'affreux accent blédard. Comme pour s'entraîner, s'assurer qu'ils n'avaient pas oublié, pour ne pas paraître ridicules devant les cousins et se foutre la honte.
« Honte », ce mot détesté et craint de tous. La hchouma,
comme ils disaient dans le quartier. Ce mot fourre-tout qui
sert à discréditer ou à mépriser l'autre. Ordonne une certaine règle, impose une attitude à tenir sur leur territoire et institue une coutume dictée par un ensemble d'interprétations culturelles.
La plupart des mots prononcés en langue arabe revêtent
un aspect moralisateur, voire sacré, lorsqu'ils sont accolés au suffixe Allah.
La honte, sentiment qui annihile tout acte transgressif
au sein de la communauté, réduit la défense au silence ou la contraint à la surréaction, parfois même à la violence. La honte, compagnon fidèle de leurs grands-pères toujours murés dans leur différence depuis qu'on les avait jetés dans les usines, les champs, les mines, les cités et l'indifférence durant les années cinquante et soixante. Les pères ensuite, tiraillés entre leur droit du sol et celui du sang qu'on leur discutait dans le pays d'origine, vivaient, eux, la honte permanente de n'appartenir à aucun camp, de n'être acceptés par personne. Ils laissèrent leurs descendances bardées de doutes, dans l'ignorance de leur
propre histoire, et déléguèrent la question aux prédicateurs de haine, aux prédateurs idéologiques et à la drogue.
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TRANSGRESSION ET TERRORISME

Introduction* : " L'autre c'est toi, c'est moi, c'est nous."



La trilogie oranaise n'a pas encore pris fin avec Gymnopédie pour une disparue dernier récit mettant en scène le commissaire Kémal Fadil, personnage récurrent de l'auteur, qui fait une courte apparition dans ce nouveau roman. Une traversée de la Méditerranée suffit pour s'amarrer dans les cités du nord de Marseille. C'est dans cette ville malmenée par le nouveau banditisme qui s'installe dans les quartiers - remplaçant le traditionnel « corso-marseillais » - que le commissaire de police Franck Massonnier va enquêter sur l'assassinat d'une femme arabe. On ne saura jamais si le tueur avait les pieds « tanqués » lorsque qu'il a fracassé son crâne avec une boule.Sur les lieux de ce jeu de massacre un indice est repéré. Puis c'est un véhicule qui brûle où l'on retrouve les deux corps calcinés de jeunes connus des services de police - dont un à la main tranchée. Les soupçons se dirigent immanquablement vers les petits caïds du trafic de drogue et les nouveaux adeptes de la charia - les signes ne trompent pas. Massonnier est dans la mouscaille. Maï, sa fille, est de plus en plus distante voire absente depuis que son père a quitté son épouse pour former un couple avec un nouveau partenaire, son collègue l'inspecteur Lofti Benattar – "beur, flic et homo" c'est ainsi qu'il se définit. Maï semble traîner avec un dealer puis est kidnappée. La mouscaille.



Ahmed Tiab ne plonge pas ses ingrédients - ils sont nombreux - dans la grande marmite des malaises sociaux, des replis identitaires ou du business de la drogue en se contentant de touiller énergiquement pour renifler la puante pitance. Sa « patte » reconnaissable jongle avec les sphères privée et publique sans pathos, sans sentence mais avec une poigne suffisamment ferme pour partager ses profondes impressions dans cette intrigue brûlante. En abordant le thème du rejet de l'homosexualité par le biais de Maï on entre au coeur du désordre familial et de ses répercussions – il en est de même avec la mère de Lofti. C'est encore avec Maï que l'on s'introduit dans le cercle de ceux qui sont désormais considérés comme les épouvantails des banlieues françaises - alors que les recruteurs ne puisent pas essentiellement dans les cités, loin de là. L'auteur a fait ce choix mais évoque aussi cet islamisme radical qui se répand via les réseaux sociaux (France Culture : ICI ) et qui touche ces jeunes immigrés ou d'origine immigrée qui le plus souvent n'ont jamais lu les sourates et sont en recherche d'identité dans ce pays qui n'est pas vraiment le leur. C'est dans une atmosphère tendue que le duo d'enquêteurs va tenter de percer le mystère de ce nouveau groupuscule de soldats de Dieu, lové dans les quartiers sinistrés de Marseille. [...] La suite : http://bobpolarexpress.over-blog.com/2018/03/pour-donner-la-mort-tapez-1-ahmed-tiab-l-aube.html
Lien : http://bobpolarexpress.over-..
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On est confronté à beaucoup de rebondissements, de thèmes tels que l'homosexualité rejetée, les jeunes et leur relation avec internet, les dérives, l'immigration, c'est intense jusque la fin.
Lien : http://www.wonderbook.fr/don..
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Polar riche en nombre de thèmes abordés (manipulation,rejet de l'autre...) Pour donner la mort,tapez 1 quitte son terrain jusque là fétiche d'Oran pour démarrer une nouvelle trilogie en terre marseillaise.Le couple Lofti/Franck est vraiment très intéressant à suivre.
C'est assez direct,critique des effets pervers d'une communication omniprésente avec des rebondissements bien trouvés et qui surprennent pour une introduction.
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