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Critique de CzarnyPies
"L'anthologie des nouvelles japonaises" est un recueil fascinant du Group Kirin, un collectif constitué de professeurs en langues asiatiques à l'université de Paris VII et d'autres intellectuels français qui ouvrent dans le domaine. le but du projet est de présenter à travers les contes une histoire de la littérature moderne japonaise depuis ses débuts jusqu'en 1986 l'année où les trois tomes de la série sont sortis. Selon le groupe Kirin l'approche est valable parce que tous les grands romanciers japonaise du vingtième siècle étaient aussi des conteurs et donc on trouve des contes qui représentent bien toutes les tendances. Aux yeux d'un lecteur comme moi qui a seulement douze titres japonais dans son base de données GR, "L'anthologie des nouvelles japonaises" est une réussite brillante. Même si sa vision de la littérature moderne japonaise est erronée, elle est extrêmement bien présentée.
La série commencent en lion en Tome 1 qui nous offre 13 nouvelles de l'époque du règne de l'empereur Taishō. On voit partout l'influence de Zola La tendance dominante est celle du "naturalisme japonaise". Les récits de ce courant sont autobiographiques, écrits à la première personne et décrivent la vie dans les milieux populaires. Mon favori dans ce groupe est "La serviette de cuire" de Tokada Shûsei.
"Le rasoir" de Shiga Naoya "La voie ferrée" de Tayama Katai sont deux deux contes d'horreur dans l'école De Maupassant. "L'enfer des miroirs" d'Edogawa Rampo (Edgar Allen Poe) est une nouvelle fantastique superbe dans la tradition du grand écrivain américain. La tendance marxiste est représentée par "La prostituée" d'Hayama Yoshiki.
"Le Testament d'Okitsu Yagoemoemon" est une conte nostalgique qui renvoie le lecteur au Japon du moyen âge. "Le Ki-lin" de Junichiro Tanizaki remonte encore plus loin en racontant un incident survenu dans la vie légendaire de Confucius. La nouvelle que j'aime le plus est "Le feu d'artifice" de Nagai Kafu qui relate avec un ton d'inquiétude l'histoire du Japon depuis la restauration de Meiji (1868 AD).
La série commencent en lion en Tome 1 qui nous offre 13 nouvelles de l'époque du règne de l'empereur Taishō. On voit partout l'influence de Zola La tendance dominante est celle du "naturalisme japonaise". Les récits de ce courant sont autobiographiques, écrits à la première personne et décrivent la vie dans les milieux populaires. Mon favori dans ce groupe est "La serviette de cuire" de Tokada Shûsei.
"Le rasoir" de Shiga Naoya "La voie ferrée" de Tayama Katai sont deux deux contes d'horreur dans l'école De Maupassant. "L'enfer des miroirs" d'Edogawa Rampo (Edgar Allen Poe) est une nouvelle fantastique superbe dans la tradition du grand écrivain américain. La tendance marxiste est représentée par "La prostituée" d'Hayama Yoshiki.
"Le Testament d'Okitsu Yagoemoemon" est une conte nostalgique qui renvoie le lecteur au Japon du moyen âge. "Le Ki-lin" de Junichiro Tanizaki remonte encore plus loin en racontant un incident survenu dans la vie légendaire de Confucius. La nouvelle que j'aime le plus est "Le feu d'artifice" de Nagai Kafu qui relate avec un ton d'inquiétude l'histoire du Japon depuis la restauration de Meiji (1868 AD).
