Les sept morts d'Evelyn Hardcastle

L'histoire paraissait prometteuse, et j'avais hâte de la découvrir... Cependant, je n'ai pas réussi à le finir, j'ai abandonné au bout de 200 pages... Je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire. Les descriptions sont longues et peu intéressantes à mon goût. Ce livre m'a profondément ennuyée, à mon grand regret !

Petite critique en cours de lecture. En lisant ce livre j'ai l'impression de vivre ce que vit Aiden Bishop. J'ai déjà recommencé ce livre plusieurs fois et a chaque fois je m'em...de profondément. La dernière fois selon ce que j'avais mis dans l'historique je m'étais arrêté à la page 60. Aujourd'hui j'en suis à la page 347 donc j'ai progressé. Mais cependant je suis toujours comme Aiden. Je ne comprends toujours rien. J'ai lu dans une critique qu'il fallait attendre le dernier tiers pour avoir la solution. Donc je ne vais pas finir le livre et m'arrête à la page 354. Mais entre temps j'ai lu Solitudes de Nico Tackian que j'ai adoré. Ce livre va finir dans la boîte à livre.

D'un ennui terrifiant... dénué d'intérêt. Je n'ai pu aller plus loin que la pages 253, arrêtée au beau milieu d'un chapitre par un énième bâillement et cette impossibilité de continuer. Je ne me rappelle pas m'être ennuyée autant. Ce livre m'a été prêté et je me demande vraiment pour quelle raison...

Bon, je ne tournerai pas autour du pot: j'ai été très déçue.
Et ça m'ennuie d'autant plus que le principe de ce roman , à la base, me semblait intéressant.
Jugez plutôt: une partie de Cluedo géante dans un manoir fantomatique, pour savoir qui a assassiné l'héritière de la famille Hardcastle ! Mais un Cluedo où l'enquêteur se réveille chaque matin dans la peau d'un personnage différent, et dont il ne pourra sortir que s'il résout le mystère.
C'était alléchant.
Eh bien c'est loupé.
J'ai trouvé le récit très confus, pénible à suivre; le style caricatural ; les personnages sans épaisseur. Et ça dure - excusez du peu - 600 pages.
Bref, je ne sais pas si l'auteur a commis d'autres ouvrages, mais ce sera sans moi.

Quand je me suis rendue compte que j'étais contrariée à l'idée de reprendre ma lecture, j'ai tout arrêté. C'est la première fois que ça m'arrive. Cette histoire, une sorte de cluedo fantastique est tellement mal écrite! Des situations sans queue ni tête, on passe du coq à l'âne sans aller au bout des choses. J'étais tellement mal à l'aise en le lisant. Plusieurs semaines après, ça m'énerve encore de m'être faite avoir comme ça.

Alors que le cadre, l'ambiance, l'intrigue me séduisaient beaucoup, je n'ai pu aller à la fin de cet ouvrage et ai décroché alors qu'il me restait deux cents pages. J'ai eu l'impression de lire un devoir. La structure est certes intéressante mais au final m'a ennuyée. Cette déambulation dans un décor sinistre avec des personnages effrayants, horribles, nauséeux... (on en a l'explication à la fin) m'a profondément déprimée. Cette lecture n'était pas pour moi.

L'histoire est atypique et pourtant la 4ème de couverture donne envie .

Si certains romans nécessite un paquet de mouchoirs je peux vous assurer que celui-ci demande un stock de dolipranes.
Personnellement je ne suis toujours pas certaine d'avoir tout compris .
Qui est Anna, Annabelle . Qui est mort , pas mort ?
Bref 600 pages quand même 😆

Rendez-vous manqué avec le livre de Stuart Turton.
Malgré mon envie de découvrir ce roman construit de manière ingénieuse selon les critiques, j'ai très rapidement décroché.
Ce qui m'a d'emblée déplu, c'est l'écriture très British et à mon sens très datée du roman. J'ai eu l'impression de retrouver l'Agatha Christie des Miss Marple ou l'une de ses concurrentes de l'époque comme MargeryAllingham.
On peut aimer Jane Austen, Downtown Abbey, Agatha Christie et le Cluedo sans pour autant être sensible au mélange des genres.
De fait, perturbée par le style du roman, je n'ai pas réussi à me passionner pour cette enquête, certes originale.

Je ne me souviens pas de qui je suis. J'ai du sang qui coule de ma manche. Et quel est cet étrange objet qui m'a été remis ? Une boussole ? Qui sont tous ces gens ? Ils ont l'air de bien me connaître, mais, moi, leurs visages ne me disent rien… Serait-ce à cause d'un coup que j'aurais reçu sur la tête ? Je sens une bosse à l'arrière du crâne…
Où suis-je ? Blackheast House ? Chez les Hardcastle ? Invité à un bal masqué ? Cela ne me dit rien. Et d'où sort ce prénom « Anna » qui n'évoque rien pour toutes les personnes qui se trouvent là et dont je crois me souvenir ? Et cet homme en habit de médecin de peste du Moyen Âge ? Qui est-il ? Que me veut-il ? My God ! Qu'est-ce que je fous là ?

Critique :

J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans cette histoire avant de comprendre qu'un individu allait se réveiller « sept » fois au même moment, le même jour, dans le même manoir, en ne se souvenant de pratiquement rien… Et dans la peau de sept personnages très différents, mais tous connus des personnes présentes à Blackheast House ! Tous les sept ne sont d'ailleurs pas des personnes très reluisantes.
Sa rencontre avec le médecin de peste nous montre qu'il est en quelque sorte prisonnier de ce manoir où un meurtre a eu lieu des années auparavant puisque le jeune fils de Lord Hardcastle y a été assassiné dans la propriété. Mais notre héros aux identités changeantes, s'il veut pouvoir sortir de là doit impérativement découvrir qui va assassiner Evelyn Hardcastle.
L'histoire met du temps à se mettre en place, et sans les recommandations d'Eric, je l'aurais vite oublié dans une boîte à livres…
Comme le héros du récit qui ne se souvient plus de grand-chose, c'est exactement le sentiment que j'ai éprouvé à la lecture de ce livre dont l'idée est vraiment très originale, mais cela n'en a pas fait pour autant un ouvrage que j'ai eu du plaisir à lire. A force de retourner et retourner encore les indices, l'auteur, Stuart Turton, m'a fait tourner en rond sans qu'aucun indice ne permette de soupçonner le meurtrier d'Evelyn… Et les autres assassins… Oh, oui, il y en a d'autres. le recours au fantastique ne m'amuse pratiquement jamais et il en fait un large usage. Bon, j'arrête de pleurer sur mon sort et je me réjouis qu'un copain me l'ait piqué ! (Chouette un peu de place dans ma bibliothèque !) le pauvre ! Il ne pourra même pas m'accabler puisque je lui ai dit tout le mal que j'en pensais…

les critiques étaient positives, les thrillers et polars me séduisent facilement mais je suis passée totalement à côté de celui-ci malgré son originalité et le décor anglais… comme je les aime.
passée à côté ou perdue, trop de méandres et de longueurs, j'ai laisser tomber ce qui m'arrive rarement!