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Critique de MonCharivariLitteraire
Zoe Valdes nous entraine des les derniers jours de la vie de Gauguin. Sous l'influence des drogues on découvre un homme assailli par les fantômes: Ceux de ses enfants décédés, ceux de ses anciennes compagnes tahitienne et maories et celui de la peinture. Celle qui le hante, celles qu'il doit encore faire; l'oeuvre qui lui reste à accomplir.
L'homme est déchu, l'ombre de lui même, mais il veut encore peindre, envers et contre tout. Il veut encore aimer, et poursuivre son tableau. Mais la mort est à la porte de sa "maison de jouir" et il ne peut plus lutter et l'emporte. Une sorte de désespoir nous envahit face à son sort, son abandon physique et moral. L'auteur avec une belle écriture a réussi à nous transporter sut l'île de Hiva Oa, à retranscrire la tragédie qui se joue sous nos yeux la mort l'emporte sur la beauté.
L'homme est déchu, l'ombre de lui même, mais il veut encore peindre, envers et contre tout. Il veut encore aimer, et poursuivre son tableau. Mais la mort est à la porte de sa "maison de jouir" et il ne peut plus lutter et l'emporte. Une sorte de désespoir nous envahit face à son sort, son abandon physique et moral. L'auteur avec une belle écriture a réussi à nous transporter sut l'île de Hiva Oa, à retranscrire la tragédie qui se joue sous nos yeux la mort l'emporte sur la beauté.
