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Critique de tchouk-tchouk-nougat
Charles à donc abandonné Adrienne, qu'il aimé pourtant, pour épouser les brasseries de Ruiter en même temps que la main de la fille du brasseur de Drop. C'est lui désormais qui est aux commandes de la brasserie de Ruiter et il a adopté Noel, le fils de son frère décédé. Noel revient justement Munich où il a appris à fabriquer de la lager. Et dans ses bagages il ramène, la belle et ambitieuse Magrit.
La saga familiale continue et le moins que l'on puisse dire c'est que les Steenfort ne roule pas dans le bonheur. Charles voit loin pour sa brasserie mais son orgeuil fait que la cellule familiale éclate. Il laisse sa femme et son Noel aux manettes de la brasserie de Ruiter. Et lui retourne dans les ruines de son ancienne brasserie. Il l'a remontera et les bières Steenfort seront mondialement connues! Magrit dans tout ça, va miser sur le bon cheval quitte à faire des malheureux.
Une histoire très enlevée pour ce deuxième tome, où les brasseries vont vraiment commencer. le tout sur fond de socialisme débutant.
Comme pour le tome 1, la première page est consacrée à expliciter le contexte. Puis on le voit tout au long de cette bande dessinée, les employés sous payés crèvent de faim et de misère au profit de quelques riches. C'est le début des syndicats, du socialisme, des grèves. Une époque tendue.
La saga familiale continue et le moins que l'on puisse dire c'est que les Steenfort ne roule pas dans le bonheur. Charles voit loin pour sa brasserie mais son orgeuil fait que la cellule familiale éclate. Il laisse sa femme et son Noel aux manettes de la brasserie de Ruiter. Et lui retourne dans les ruines de son ancienne brasserie. Il l'a remontera et les bières Steenfort seront mondialement connues! Magrit dans tout ça, va miser sur le bon cheval quitte à faire des malheureux.
Une histoire très enlevée pour ce deuxième tome, où les brasseries vont vraiment commencer. le tout sur fond de socialisme débutant.
Comme pour le tome 1, la première page est consacrée à expliciter le contexte. Puis on le voit tout au long de cette bande dessinée, les employés sous payés crèvent de faim et de misère au profit de quelques riches. C'est le début des syndicats, du socialisme, des grèves. Une époque tendue.
