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Critique de Domichel
On sait maintenant la véritable identité de XIII et pourquoi il est arrivé dans nos bibliothèques depuis si longtemps.
Après la ballade irlandaise, ce dernier album signé Van Hamme tient ses promesses alors que cela n'a pas toujours été le cas auparavant. Pour solde de tout compte on a quand même droit à un feu d'artifice tant au niveau du dessin pour lequel William Vance s'est surpassé, que du scénario qui règle le sort des quelques personnages dont on avait fini par croire qu'ils nous hanteraient pour longtemps. Les retrouvailles avec les proches de XIII sont presque émouvantes et si le mur blanc dressé devant ses souvenirs ne sera sans doute jamais fissuré, il finira par choisir une identité qui lui colle le mieux avant de se retirer, au moins un moment, dans une propriété dont il ignorait (encore) qu'il en était le dépositaire. Ce n'est sans doute pas un adieu mais une vraie séparation d'avec ses plus fidèles amis. Et on se réjouit quand même de savoir qu'il va enfin pouvoir se poser un peu !
Pour moi c'est un beau final pour le challenge que je m'étais fixé de relire ces 19 albums pendant le confinement et d'en faire les critiques, je n'étais pas tombé dans le chaudron de Babelio lors de mes premières lectures !
Et je vais sans doute continuer de relire les suivants pendant que j'ai en tête toutes les bases de cette aventure qui dure depuis quand même depuis 35 ans !
Après la ballade irlandaise, ce dernier album signé Van Hamme tient ses promesses alors que cela n'a pas toujours été le cas auparavant. Pour solde de tout compte on a quand même droit à un feu d'artifice tant au niveau du dessin pour lequel William Vance s'est surpassé, que du scénario qui règle le sort des quelques personnages dont on avait fini par croire qu'ils nous hanteraient pour longtemps. Les retrouvailles avec les proches de XIII sont presque émouvantes et si le mur blanc dressé devant ses souvenirs ne sera sans doute jamais fissuré, il finira par choisir une identité qui lui colle le mieux avant de se retirer, au moins un moment, dans une propriété dont il ignorait (encore) qu'il en était le dépositaire. Ce n'est sans doute pas un adieu mais une vraie séparation d'avec ses plus fidèles amis. Et on se réjouit quand même de savoir qu'il va enfin pouvoir se poser un peu !
Pour moi c'est un beau final pour le challenge que je m'étais fixé de relire ces 19 albums pendant le confinement et d'en faire les critiques, je n'étais pas tombé dans le chaudron de Babelio lors de mes premières lectures !
Et je vais sans doute continuer de relire les suivants pendant que j'ai en tête toutes les bases de cette aventure qui dure depuis quand même depuis 35 ans !
