Mais ça va poser un problème, vous ne croyez pas ? Avoir à réaffirmer que ce que nous pensons être ce qu’il est... est bien ce qu’il est et non tout autre chose.
L’abandon est la seule solution pour l'environnement, ce pour quoi notre effondrement est nécessaire.
Que pouvait-elle faire ? Rien. Et elle ne voulait rien faire. Ne pas choisir était un choix.
Tu hoches la tête en souriant, tu n’as rien à ajouter, rien à dire, mais tu es heureuse de l’écouter. En phase terminale d’intérêt.
Une baleine est aussi intelligente que nous, mais d’une manière que nous n’arrivons pas tout à fait à mesurer ou à comprendre.
« Il y a d’autres frontières à l’intérieur de la Zone X, d’autres épreuves, et tu en as traversé une pour arriver à l’anomalie topographique. » (p. 46)
« Qu’y a - t - il à l’extérieur de la frontière quand on est à l’intérieur ? » « Qu’est - ce que la frontière quand on est à l’intérieur ? » « Qu’est - ce que la frontière quand quelqu’un en est à l’extérieur ? » « Pourquoi la personne à l’intérieur ne voit - elle pas celle à l’extérieur ? »
Légère suggestion hypnotique, conditionnement portant davantage sur la survie dans la Zone X que sur l’une ou l’autre des discutables « valeurs ajoutées » de Lowry, avec lesquelles il prétend avoir trouvé un moyen de contourner le besoin, à un certain niveau, que le sujet consente à exécuter l’action suggérée – « une sorte de supercherie et de substitution ». Les étapes que tu as vues décrites sont identification, endoctrinement, renforcement et déploiement, mais Grace a vu d’autres documents qui empruntent à la sémiotique du surnaturel : « manifestation, infestation, oppression et possession. »
Le monde dans lequel nous vivons maintenant est difficile à accepter, incroyablement difficile à accepter. (...) Mais l'acceptation l'emporte sur le déni, et peut-être y a-t-il aussi là-dedans un acte de résistance.
« D’autres gens vous donnaient leur lumière, et peut-être avaient-ils l’air d’en perdre, de ne plus être qu’à peine visibles, si personne ne prenait soin d’eux. Parce qu’ils vous en avaient trop donné et qu’il ne leur en restait aucune pour eux. » (p. 51)