L'immeuble d'en face, tome 3

(Fabienne à son chien Gipsy)
- Demain, s'il ne pleut pas, on ira peut-être au parc... mais ça dépendra aussi du boulot, si je finis assez tôt.... Avec ma nouvelle collègue, là, c'est pas toujours évident. Bon, c'est normal, elle est nouvelle, mais elle me ralentit pas mal...
- Mais arrête de lui parler. Il comprend rien à ce que tu lui racontes !
- Il ne comprend peut-être pas, mais au moins il m'écoute lui ! Pas comme certains, qui ne font ni l'un ni l'autre!

Mais les filles comme dans les jeux, ça n'existe pas... Toutes minces, sans un pet de cellulite, des énormes seins qui tiennent tout seuls et qui portent des armes trois fois plus grosses qu'elles, avec des bras tout maigres... Va falloir te faire une raison, c'est pas possible dans la vraie vie. Mais tu verras, une vraie fille en chair et en os, ça a son charme aussi !

"C'est Claire, j'ai oublié mes clefs, je suis chez Maurice car c'était le seul dont j'avais le numéro sur moi. Je dors sans doute là-bas. A demain. Claire."

[...] Et puis un chien, ça a un côté primaire con... manger, jouer, dormir, faire des câlins... c'est simple. Ca fait du bien. (page 98)

- c'est dégueulasse, laisse les beaux garçons à celles qui sont seules !
- ah, bon ?! t'es seule, toi ?
- hum... ce n'est plus qu'une question de jours mais oui, je le serai bientôt...