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Critique de Lagagne
J'ai suivi avec beaucoup d'attention le périple d'Arthur Bowman de l'Inde aux Etats-Unis. Aux Indes nous sommes plutôt sur de l'histoire miitaire, Boman étant sergent à la Compagnie des Indes Britanniques. Il m'a fallu un peu de temps pour entrer dans cette partie, qui n'est pas un genre auquel je suis habituée.
Ensuite, direction Londres pour en savoir plus sur Bowman après, sa reconstruction, ou non. On en sait un peu plus sur ce qui a pu se passer aux Indes, les souffrances vécues, la torture subie. On démarre aussi la partie "polar" du roman : le début de la poursuite d'un tueur.
Cette poursuite nous fait traverser l'Atlantique et nous voilà avec Bowman sur le continant américain, à la conquête de l'ouest et à la poursuite du tueur en série. Et là on a un vrai western. Et pour la seconde fois (après Céline Minard) je me rend compte que j'aime ce genre ! Les grands espaces américains, ces hommes bruts, la survie, cette recherche de l'or, la sauvagerie, le début d'une civilisation qui s'impose dans la violence, les rêves de toute une vie, la construction d'un avenir, l'étendu des possibles.... Bowman est le personnage qui incarne parfaitement tout cela : torturé, idéaliste brisé, perdu en quête de lui-même, fantôme à la recherche de consistance, d'avenir, de raison de vivre. Il est intense et touchant, violent et attendrissant.
Une vraie réussite ! Je suis ravie d'avoir surmonté mes réticences du début.
Ensuite, direction Londres pour en savoir plus sur Bowman après, sa reconstruction, ou non. On en sait un peu plus sur ce qui a pu se passer aux Indes, les souffrances vécues, la torture subie. On démarre aussi la partie "polar" du roman : le début de la poursuite d'un tueur.
Cette poursuite nous fait traverser l'Atlantique et nous voilà avec Bowman sur le continant américain, à la conquête de l'ouest et à la poursuite du tueur en série. Et là on a un vrai western. Et pour la seconde fois (après Céline Minard) je me rend compte que j'aime ce genre ! Les grands espaces américains, ces hommes bruts, la survie, cette recherche de l'or, la sauvagerie, le début d'une civilisation qui s'impose dans la violence, les rêves de toute une vie, la construction d'un avenir, l'étendu des possibles.... Bowman est le personnage qui incarne parfaitement tout cela : torturé, idéaliste brisé, perdu en quête de lui-même, fantôme à la recherche de consistance, d'avenir, de raison de vivre. Il est intense et touchant, violent et attendrissant.
Une vraie réussite ! Je suis ravie d'avoir surmonté mes réticences du début.
