J'ai lu
le canevas sans visage de
Patrick Varetz (Cours toujours Éditions)
dans le cadre d'une masse critique Babelio. L'auteur rend un hommage à sa grand-mère Léona Varetz, infirmière dont la passion était de manier l'aiguille plus particulièrement sur un canevas représentant un mineur de mine du Nord. Durant son travail d'aiguille elle évoque ses souvenirs son mari disparu, son amant médecin l'horrible le gros Caudron. Elle a été son assistante, la maîtresse et la confidente amicale. Leona a vécu simplement dans la grisaille du Nord en compagnie de mineurs.
C'est un court roman à l'écriture délicate, original mais il n'a pas su me toucher. Malgré tout, c'est un beau portrait de femme.
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