Dans toute la production de Fred Vargas, que j'ai tous lu au fil des ans, il y en a deux que j'adore, ou plus exactement qui ont laissé une trace profonde, durable et utile dans mon parcours de lectrice, et "Debout les morts" y figure (en deuxième place, rien n'ayant encore pu détrôner la Camille en bottes de paysan armée de son catalogue de machines agricoles dans "L'homme à l'envers").
Quinze ans après ma lecture, le souvenir de ces trois historiens dans leur maison à trois étages, associé à l'arbre au milieu du jardin, m'habite et me nourrit encore.
Je ne sais toujours pas pourquoi, et ça m'est complètement égal de ne pas le savoir.
C'est toujours là, et c'est encore bon d'y repenser.
Commenter  J’apprécie         657