J'ai fondu en découvrant le monde plein de tendresse et de poésie du petit Brésilien Zézé.
Des moments forts pour ce polisson au grand coeur, souvent durement puni, quand ayant atteint le soit-disant "age de raison", il regarde en compagnie de son arbre s'envoler le petit oiseau qui chantait dans son coeur, quand son ami le Portuga lui laisse faire la chauve souris à l'arrière de la voiture, quand il manque l'école pour accompagner le chanteur de rue, ou comme s'étant écrié par mégarde devant son père et devant ses sandales vides à Noël « Quel malheur d'avoir un père pauvre !… »
Ca me laisse sans voix.
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