L'une de mes premières lectures de jeunesse (vers 10 ans) marquante. Je crois que c'est l'une des rares fois où mes larmes coulaient tout en lisant. La langue est sublime, à la fois cruelle et poétique.
Quand on a cinq ans et qu'on a d'ami qu'un arbre, qui console de la solitude, des brimades répétées et injustes, l'on essaie juste de se faire oublier et de survivre à la folie des adultes, à la misère affective, à la misère tout court. Voilà la vie du petit Zeze...
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