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Critique de Citelle
J'ai voulu découvrir le roman qui avait inspiré tant de fictions.
Dès le départ, il m'a rappelé le duo de "Retour vers le futur", avec un savant un peu fou et un jeune disciple. En continuant, j'ai retrouvé le cadre d'une vieille BD du grenier de ma grand-mère "Bob Morane et le secret de l'Antarctique".
Mais quelle difficulté pour en venir à bout ! Certes, Jules Verne l'a écrit à une époque de grande curiosité scientifique, entre cryptologie, minéralogie, paléontologie ou géologie, sciences alors toutes jeunes.
Et dans son enthousiasme, il nous donne des descriptions très détaillées sur chaque pierre, chaque faille, chaque éruption. Cela plombe vraiment le rythme, si on peut y trouver un rythme ! Car curieusement, il m'a semblé qu'il ne se passait pas grand chose dans cette aventure.
Il y a tout de même quelques éléments positifs :
J'ai bien été amusée par Otto Lidenbrock qui, non seulement, est compétent dans de nombreux domaines scientifiques, mais est aussi polyglotte : il parle allemand, islandais, danois, latin, et déchiffre le grec et l'islandais anciens ainsi que les runes. N'en jetez plus !
J'ai appris certains termes de vocabulaire, difficilement replaçables dans une conversation de machine à café : "Nous dominions une extumescence de la montagne" ou "La taciturnité naturelle [des Islandais]".
Mais au final, je n'ai pas vraiment accroché à ce récit, j'ai sauté des paragraphes et je me demande encore comment on a pu le conseiller à de jeunes lecteurs, même à une époque sans écrans.
Dès le départ, il m'a rappelé le duo de "Retour vers le futur", avec un savant un peu fou et un jeune disciple. En continuant, j'ai retrouvé le cadre d'une vieille BD du grenier de ma grand-mère "Bob Morane et le secret de l'Antarctique".
Mais quelle difficulté pour en venir à bout ! Certes, Jules Verne l'a écrit à une époque de grande curiosité scientifique, entre cryptologie, minéralogie, paléontologie ou géologie, sciences alors toutes jeunes.
Et dans son enthousiasme, il nous donne des descriptions très détaillées sur chaque pierre, chaque faille, chaque éruption. Cela plombe vraiment le rythme, si on peut y trouver un rythme ! Car curieusement, il m'a semblé qu'il ne se passait pas grand chose dans cette aventure.
Il y a tout de même quelques éléments positifs :
J'ai bien été amusée par Otto Lidenbrock qui, non seulement, est compétent dans de nombreux domaines scientifiques, mais est aussi polyglotte : il parle allemand, islandais, danois, latin, et déchiffre le grec et l'islandais anciens ainsi que les runes. N'en jetez plus !
J'ai appris certains termes de vocabulaire, difficilement replaçables dans une conversation de machine à café : "Nous dominions une extumescence de la montagne" ou "La taciturnité naturelle [des Islandais]".
Mais au final, je n'ai pas vraiment accroché à ce récit, j'ai sauté des paragraphes et je me demande encore comment on a pu le conseiller à de jeunes lecteurs, même à une époque sans écrans.
