L'Express du 3 février 2016
"A 45 ans, revenu de tout, le Français trompe son spleen à coups d'opium, de commérages et de parties de jambes en l'air. Notamment avec une humanitaire et ex-diplomate danoise, elle-même maîtresse attitrée de son meilleur ami, Corto, autre baroudeur de son acabit.
Un jour de 2006, Corto vient à disparaître. Les souvenirs de leur long compagnonnage depuis le lycée toulousain affluent, entrecoupés des - maigres - recherches menées par le restaurateur désabusé pour retrouver son rival d'ami.
Avec son ton à la Philip Marlowe,
Marc Victor décrit à merveille la petite faune occidentale débarquée là pour des raisons pas toujours avouables. Gai et mélancolique, drôle et instructif,
le Bout du monde sonne juste de bout en bout. "
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