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Critique de janessane
Je suis une lectrice assidue de Vincent Villa et je dois dire qu'à chaque fois il parvient à m'embarquer dans ses romans tant ces derniers sont pourvus d'une intrigue habilement construite. "ADHaine" n'échappe pas à cette qualité.
Tout au long de ma lecture, j'ai eu cette nette impression de jouer avec des poupées russes. Il y a d'abord ce meurtre ignoble où l'on a arraché le coeur d'une jeune femme et puis il y a ce cold-case que Nathalie désespère de résoudre un jour : celui d'une jeune femme retrouvée morte, défigurée il y a 30 ans de cela et dont on ignore encore l'identité. Ajoutez à cela le meurtre d'une miss -délestée de ses oreilles en même temps que de ses bijoux- et la disparition de la compagne d'un flic suite à une dispute conjugale et vous aurez votre première "grosse" poupée russe.
Mais voilà, comme Vincent Villa ne fait jamais les choses à moitié, vous allez peu à peu plonger dans ces histoires et entrapercevoir peu à peu les ramifications qui les lient. Les petites poupées vont défiler jusqu'à le dernière page où la plus petite ne sera pas la moindre.
Le résultat est habile, parfaitement fouillé et un peu "alambiqué" pour mon plus grand plaisir. Vincent Villa a le sens du détail sans pour autant cultiver celui de l'excès. Cela a pour conséquence d'offrir à ses lecteurs des romans parfaitement maitrisés traitant de sujets sérieux dont on pressent qu'une documentation importante à précéder l'écriture.
Une fois de plus, je suis conquise ! Un grand merci à Babelio et aux éditions du 123 pour cet envoi.
Tout au long de ma lecture, j'ai eu cette nette impression de jouer avec des poupées russes. Il y a d'abord ce meurtre ignoble où l'on a arraché le coeur d'une jeune femme et puis il y a ce cold-case que Nathalie désespère de résoudre un jour : celui d'une jeune femme retrouvée morte, défigurée il y a 30 ans de cela et dont on ignore encore l'identité. Ajoutez à cela le meurtre d'une miss -délestée de ses oreilles en même temps que de ses bijoux- et la disparition de la compagne d'un flic suite à une dispute conjugale et vous aurez votre première "grosse" poupée russe.
Mais voilà, comme Vincent Villa ne fait jamais les choses à moitié, vous allez peu à peu plonger dans ces histoires et entrapercevoir peu à peu les ramifications qui les lient. Les petites poupées vont défiler jusqu'à le dernière page où la plus petite ne sera pas la moindre.
Le résultat est habile, parfaitement fouillé et un peu "alambiqué" pour mon plus grand plaisir. Vincent Villa a le sens du détail sans pour autant cultiver celui de l'excès. Cela a pour conséquence d'offrir à ses lecteurs des romans parfaitement maitrisés traitant de sujets sérieux dont on pressent qu'une documentation importante à précéder l'écriture.
Une fois de plus, je suis conquise ! Un grand merci à Babelio et aux éditions du 123 pour cet envoi.
