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Citations sur La fabrique (13)

Le courage n'est finalement que la capacité à vaincre ses peurs.
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Lydia n'identifie pas clairement ce qu'elle souhaiterait, mais elle sait en tout cas que cette vie ne la comble pas. De plus en plus souvent, elle est envahie par le sentiment de ne vivre qu'à moitié, par l'impression que quelque part, au-delà de ces obligations et ces conventions, une autre existence est possible.
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(...) dès que les jours raccourcissent elle aime rentrer à Amsterdam, quitter la campagne pour retrouver les divertissements de la capitale. Souvent l'hiver s'éternise et l'oblige à supporter, quelques semaines de plus, les convenances et règles étouffantes en vigueur dans la riche bourgeoisie.
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En été, toutes les personnes de son rang quittent la ville pour se réfugier dans une sorte d'éden bucolique, que la plupart méprisent le reste de l'année.
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J'ai noué des amitiés ici, la Belgique est devenue également un peu mon pays. Pour la première fois de ma vie, je me sens vraiment utile. Je ne peux pas retourner dans ma vie d'avant, pas de cette façon.
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Elle ne lui en veut pas.Ralph n'était finalement pas celui qu'il prétendait être, mais elle n'est pas non plus celle qu'il croit. En fin de compte, nous dévoilons- nous jamais vraiment ? N'avons-nous pas tous nos secrets, même pour nos proches ?
Son chagrin d'amour vient s'ajouter au mal du pays et à son envie irrépressible de rentrer chez elle. (...)
Puisqu'elle ne doit plus jouer la comédie devant Ralph et sa belle-famille, que les affres de la guerre révèlent la futilité des questions d'origine, les souvenirs remontent doucement à la surface.Les images de son enfance...(p.353)
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-Une chance incroyable...répète Nora.Tellement incroyable qu'en effet j'y crois difficilement.D'ordinaire, on ne propose pas aux servantes de devenir demoiselles de magasin.Il faut suivre une formation, s'exprimer sans accent et avoir des mains irréprochables, dépourvues de traces de travail manuel.
( p.279)
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-Je suis du même avis qu'Emile.Nous devons défendre notre liberté coûte que coûte, mais je ne me vois pas me jeter sur des soldats allemands une arme à la main.Pas parce que j'ai peur, mais parce je les considère comme des semblables, comme des frères. Je ne vois pas pourquoi quelqu'un deviendrait mon ennemi au seul motif de sa nationalité.
( p.325)
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Beaucoup de femmes veulent faire quelque chose de leur vie, même lorsqu'elles sont à l'abri du besoin.C'est très bien, mais je me mobilise surtout pour celles qui se retrouvent seules, à la suite d'un divorce, d'un décès, ou tout simplement parce qu'elles ne se sont jamais mariées. Celles-là sont souvent en difficulté, d'abord parce qu'elles ne peuvent prétendre à autre chose qu'un emploi de servante ou, au mieux, de gouvernante. Résultat , elles dégringolent inéluctablement l'échelle sociale. (p.171)
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La jeune femme ne comprend pas tout à fait ce qui l'attire autant chez Huib. Peut-être le mélange d'intelligence et de rudesse. Huib est quelqu'un d'authentique. Il ne prétend pas être ce qu'il n'est pas.(...)
S'il n'est pas toujours aisé de mettre des mots sur les sentiments, elle ne peut plus nier leur existence.La question à présent est de savoir quoi en faire.(p.105)
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