Lu par plaisir, je ne compte pas faire une analyse de ce conte philosophique qui est de la veine de
Candide et de
l'Ingénu.
Le côté plaisant ici est que le récit se passe à Babylone où Zadig évolue sous l'égide de Zoroastre.
Zadig est un personnage attachant: sage, intelligent, instruit, généreux, serviable et amoureux mais aucune de ces qualités ne lui porte bonheur, bien au contraire. Pour lui tout va de mal en pis et après avoir été le favori du roi et de son épouse, le voici à fuir sur les chemins et à vivre mille mésaventures, triste, dépité et pauvre.
Le récit, à part la fin trop déiste à mon goût, est un bonheur de lecture à un point presque surprenant, mais on oublie que
Voltaire, tant étudié, se lit très facilement.
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