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Critique de Jahyra
Un second tome dans la continuité du premier, qui fait grandir le protagoniste principal, Kylar, au même rythme que les répercussions de ses actes.
Petit bémol cependant sur la mentalité de ce dernier dans ce tome, très romanesque et naïf, ce qui est difficilement compréhensible au premier abord avec ce qu'il a vécu et continue de vivre.
Durzo ne serait-il simplement que la noirceur incarnée que Kylar absorberait comme une éponge; et qu'il suffit qu'il disparaisse pour que tout change?
Pour au final se souvenir qu'il n'a que 20 ans, et que la fraîcheur de sa jeunesse qu'il parvient à conserver paraît tout simplement incongrue au milieu de cet environnement cruel.
C'est là qu'on se rend compte avec horreur qu'on s'y habitue. Comme les personnages, qu'on commence à comprendre par la même occasion.
Dernier point notable, un superbe cliffhanger de fin réussi (et c'est assez rare pour être mentionné ! ), que l'auteur nous fait espérer tout du long, consciemment ou non, sans nous laisser aucun indice sur sa possible réalisation.
Et pourtant...
Petit bémol cependant sur la mentalité de ce dernier dans ce tome, très romanesque et naïf, ce qui est difficilement compréhensible au premier abord avec ce qu'il a vécu et continue de vivre.
Durzo ne serait-il simplement que la noirceur incarnée que Kylar absorberait comme une éponge; et qu'il suffit qu'il disparaisse pour que tout change?
Pour au final se souvenir qu'il n'a que 20 ans, et que la fraîcheur de sa jeunesse qu'il parvient à conserver paraît tout simplement incongrue au milieu de cet environnement cruel.
C'est là qu'on se rend compte avec horreur qu'on s'y habitue. Comme les personnages, qu'on commence à comprendre par la même occasion.
Dernier point notable, un superbe cliffhanger de fin réussi (et c'est assez rare pour être mentionné ! ), que l'auteur nous fait espérer tout du long, consciemment ou non, sans nous laisser aucun indice sur sa possible réalisation.
Et pourtant...
