L'Humanité, accompagnée d'autres espèces terrestres, a décidé de quitter la Terre pour trouver un nouveau lieu habitable, le risque étant grand que le Soleil la détruise. Elle a, pour cela, embarqué dans plusieurs vaisseaux spatiaux. L'un d'eux, avec à son bord un seul survivant, va revenir sur Terre 25 000 ans plus tard pour voir si ce qui avait été annoncé a eu lieu. Il ne sera pas au bout de ses surprises à son arrivée...
Quatrième lecture d'une adaptation BD des nouvelles de
Liu Cixin, L'humanité invisible est peut-être celle que j'ai la moins appréciée. Graphiquement tout d'abord, par l'alternance entre les dessins de
Liu Wei et
Pan Zhiming, qui s'expliquent certes narrativement, mais qui ont bien du mal, à mon sens, à se compléter, l'un plutôt réaliste, l'autre plutôt cartoon. Narrativement, ensuite, parce que j'ai trouvé que l'histoire était un peu trop délayée au fil des pages :
la rencontre avec la nouvelle humanité microscopique qui s'est développée sur Terre après le cataclysme est bien explicitée, parce que cela est, finalement, plus "simple" à expliquer que d'autres récits de l'auteur chinois, et très vite il n'y a plus grand chose à dire d'autre.
Je remercie les éditions Delcourt et Net Galley de m'avoir permis la découverte de cette adaptation BD, même si ce n'est pas ma préférée. Je vais tout de même continuer ma lecture des autres tomes.
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