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Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Après un "Zombie Nation" un peu décevant, c'est avec une petite appréhension que je débutais ce troisième et dernier tome, "Zombie Planet". Ayant aimé le premier, je ne voulais pas terminer cette trilogie sur un avis négatif, je voulais quelque chose qui rehausse un peu le niveau de ce second tome un peu faiblard, un final de toute beauté. La lecture de la quatrième de couverture laissait supposer que ça allait être le cas. En effet, l'histoire reprend 12 ans après "Zombie Nation" et nous retrouvons enfin Ayaan, Maël, ainsi que quelques surprises. Et pourtant, tel une bande annonce qui va mettre le paquet sur quelques minutes pour mieux cacher les faiblesses du film, on se rend compte assez rapidement qu'on ne retrouvera pas, une fois de plus, la qualité du premier tome "Zombie Island". Exit l'ambiance sombre, les huis clos angoissants...Place à l'enchaînement d'actions qui en mettent plein la vue et son lot de supers héros/zombies...Maintenant, les goules comme Gary sont légion et ne se contentent plus d'être des télépathes/mentalistes. Il faut de l'action au-delà du raisonnable et tant pis pour le sérieux du récit. Déplacement instantané, projection d'énergie, transformation en loup-garou...On se croirait dans "Marvel Zombies". le hic, c'est qu'en commençant la lecture de cette trilogie, je ne m'attendais et ne voulais pas lire du "Marvel Zombies". Alors on pourra au moins reconnaître la prise de risque de David Wellington pour ne pas faire de sa trilogie, une bête histoire de zombie comme on a pu en voir ou lire un peu partout. C'est un choix qui peut plaire à certains lecteurs. Mais pourquoi autant de différence entre le premier et le dernier tome. C'est comme si l'auteur n'assumait pas son histoire et se mettait à faire du fan service à outrance pour ameuter le plus de lecteur possible, quitte à rendre le récit bancal. La seule bonne chose à en tirer, c'est que chaque tomes pouvant se lire indépendamment, vous avez des chances de trouver votre compte avec au moins l'un des trois. Si vous voulez du survival horror, jetez-vous sur "Zombie Island". Pour un récit sur la fin du monde, c'est "Zombie Nation" qu'il vous faut. Et enfin, pour de l'action no brain, "Marvel Zombies". Vous l'aurez compris, je n'ai pas du tout accroché à ce dernier tome et je me contenterai de garder un très bon souvenir de "Zombie Island", le reste, étant un immense gâchis, est à oublier rapidement.
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Dans ce dernier et troisième tome de Zombie Story, nous retrouvons les personnages du premier opus, douze ans après. Sarah a grandi et accompagne Ayaan dans des missions dangereuses pour la sauvegarde des survivants en Afrique.

Mais un événement vient bouleverser les habitudes. Un russe, le tsarévitch, une liche puissante aux pouvoirs impressionnants, tente de dominer le monde dans le but d'en recréer un meilleur.

Le niveau, comme dans le deuxième épisode, est en chute libre. Bien que nous soyons dans un registre fantastique, l'histoire paraît être tirée par les cheveux, mais vous me direz -on s'en fout, on est mort.

L'univers est chaotique et complètement incohérent. Les vivants côtoient des morts et sont heureux de le faire. Les morts ne tentent plus de manger les vivants, et le russe boit le sang par petites gorgées à une vivante. C'est quoi ce mélange. En tout cas, il ne prend pas. C'est ennuyeux. L'auteur veut nous proposer de l'horreur, de l'action, des sentiments, mais la mise en place du scénario qui à la base est un peu brinquebalant, est difficile. On souffle tout le long comme si ce roman faisait partie des derniers kilomètres d'un marathon non préparé.

Heureusement que l'écriture est fluide et permet de rapidement passer sur des longs, longs, longs passages sans queue ni tête.

Cette trilogie avait plutôt bien débuté, l'idée étant assez intéressante, mais si elle n'est pas innovante, mais l'auteur a poussé le vice trop loin. Deux cent pages auraient largement suffi, on en a mille deux cent en tout. Quel calvaire !
Lien : http://skritt.over-blog.fr/a..
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L'intrigue (si l'on peut décemment parler d'intrigue) prend le chemin du fantastique au détriment du survivalisme et de l'horrifique. le tout s'avère souvent ridicule et peu convaincant.
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