Le temps est ici considéré comme une quatrième dimension de l'espace et le héros, voyageur d'un nouveau genre, raconte à la première personne (comme souvent dans les récits d'HG Wells) ses aventures.
On y fait connaissance avec les Morlocks qui donnent froid dans le dos.
Mais comme toujours chez l'auteur l''histoire et surtout l'épilogue surprenant donnent matière à réfléchir sur la condition humaine.
A noter que
Stephen Baxter a donné avec brio un prolongement à ce texte (
les vaisseaux du temps) et que pour une fois dans ce genre d'entreprise "périlleuse" son texte soutient la comparaison.
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